C’est le prix à payer pour caresser dans le sens du poil la foule raciste et xénophobe. C’est aussi le prix de la fermeture des frontières, fermeture qui a placé le migrant devant devant l’alternative de partir ou de rester, définitivement. Ce qui a mener à la politique du regroupement familial, conséquence logique et humaine de la décision de fermer les frontières.
La solution s’appelle la liberté. Liberté d’aller et de venir. Combien de migrants ont rêver de rentrer au pays et non pu le faire, parce que les frontières se fermaient ?
Certes, certains choisiraient de rester. Mais est t-on sûr qu’il y en aurait plus que dans cette situation ubuesque que nous vivons aujourd’hui, quand même le petit fils du migrant est encore nommé « immigré » ?
La liberté, c’est pour les hommes, pas pour les marchandises. On nous rebat les oreilles des grands équilibres naturels de l’économie où il faudrait que l’Etat n’intervienne jamais, mais pour l’homme, fini la liberté que l’on accorde à la marchandise. Pseudo-libéraux et vrais fachos sont bien d’accord sur ce point.
Le Peripate.