« Démontrez-moi que cet iPad ne sert pas la cause du développement durable en évitant toute la chaîne pour la fabrication, la distribution puis la destruction et ou le recyclage des produits imprimés. »
- Apple n’est franchement pas en tête des entreprises vertes. Les composants électroniques contiennent des ingrédients pas franchement tops pour la nature et la santé. Un appareil en panne, c’est bien souvent le remplacement pur et simple de la carte compte tenu du taux de miniaturisation et d’intégration qui rendent quasi impossible une réparation classique. Une carte HS, c’est souvent le départ pour l’Inde ou la Chine où les conditions de recyclage ne sont pas du tout aux normes environnementales et sanitaires. Même avec un recyclage aux normes, c’est quand même polluant. Un livre n’a pas besoin d’être rechargé, un livre peut tomber : son écran ne cassera pas, un livre peut être rayé sans que cela ne pose de gros préjudice à la lecture, un livre ne tombera jamais en panne, etc.
Votre réponse est complètement à côté de la plaque. Non seulement Aple a fait des progrès substantiels en ce qui concerne ses composants, mais ce n’est pas là le problème. Je compare la pollution qu’il y a entre posséder un iPad et y avoir dessus de la musique, des photos, d’y lire nombre de magazines, nombre de livres et ce que coûte en pollution la chaîne de l’imprimerie du début (l’arbre) à la fin : l’imprimé soit stocké, soit jeté, soit recyclé après avoir été chez vous. Je ne parlais pas d’absolu, l’iPad seul, mais de relatif : l’ipad vs l’imprimé. Vous ne m’avez absolument pas répondu et vous n’avez rien démontré. 1 à 0.
« Démontrez-moi qu’avec les cartes IGN cela n’a pas d’intérêt pour faire des chemins de grande randonnée. »
- Vous avez déjà fait des GRANDES randonnées ? La carte papier pèse moins lourd qu’un moineau qui mange pas (merci RS !), la carte papier, comme le livre, n’a pas besoin d’être rechargée et ne tombera pas non plus en panne, contrairement au magnifique joujou d’Apple (ou autre) qui lui vous laissera l’air un peu con au beau milieu de nul part au moment où, loi de Murphy oblige, vous en auriez le plus besoin.
En ce qui concerne les pannes elles sont rarissimes et dans ce cas je vous dirai : et si vous perdez votre carte, si elle est noyée sous la pluie etc. Cet argument est invalide. Quand au poids il fait 680 g, et dans un sac à dis c’est négligeable. Avec une carte vous n’avez pas d’image, avec l’iPad si. Ces images peuvent vous aider à vous repérer, par exemple.Vos cartes il en fat pour chaque endroit. Il faut les mettre à jour. De plus je vous dis que cela à un intérêt vous voulez juste me démontrer qu’une carte c’est mieux. Ce ’est qu’un point de vue, mais cela ne prouve en rien que l’iPad n’a pas d’intérêt. Et cela en a de fait sinon l’IGN, dont c’est le métier et ils doivent être un peu mieux placés que vous pour en juger, n’aurait pas lancé un concours pour chercher des développeurs pour proposer leurs cartes. 2 à 0
« Démontrez-moi que par son application ibook cela ne permet pas de se cultiver avec toutes les encyclopédies et cela à meilleur compte que l’achat des livres, que cela n’a pas d’utilité pour visiter un musée. »
- Un livre papier s’achète, se prête, se conserve, se donne, s’offre avec une dédicace, ou se revend. Tandis qu’un livre électronique nourris aux DRM ... Une encyclopédie papier, ça en jette dans la bibliothèque. Un iPad, ça fera un grand espace vide autour et tout le monde dira : qu’il est beau ton cadre photo !
Où est la démonstration ? je vous parle d’utilisation pour se cultiver vous me parler d’espace rempli. Complètement à côté de la plaque. Et pour justement un espace faible on a une quantité incroyable de document. De plus chez moi j’ai une certaine quantité de livres pour ne pas dire une quantité certaine de livres. L’un n’est pas exclusif de l’autre. 3 à 0
Non seulement vos réponses n’apportent aucune preuve qui viendrait contredire ce que j’ai écrit, mais en plus vous ne répondez qu’à une petite partie des questions.
