Bonjour,
Malheureusement, dans ce monde il faut raisonner business.
Pour moi, il n’existe que deux types de communautarisme : le communautarisme majoritaire et les autres minoritaires. Un peu l’histoire du normal et du pathologique.
Le but des politiques d’aujourd’hui est de satisfaire la plus grosse tout en essayant de réduire les autres. C’est ce qui se passe aujourd’hui.
L’effacement des identités par un vecteur idéologique n’est qu’une manière de se retrouver avec une majorité de bons petits consommateurs dépouillés de leur faculté de raisonnement. Par ce moyen, on réduit l’éventail d’offre, et on se retrouve comme des cons à accepter avec le sourire les 2 ou 3 seuls produits qu’on nous offre en pensant avoir le choix. La diversité est la bête noire de tout type de producteur, ca demande beaucoup plus de moyens, de logistique, de travail quoi. Je mets bien évidemment la politique dans le panier des produits de consommation.
Le racisme vous dites ? Ce n’est qu’un coeur de cible marketing, il faut satisfaire un besoin communautaire minoritaire tant qu’il existe. La personne dans ce fil qui disait qu’un jour les couleurs ne se verront plus a raison.
Le seul souci c’est qu’une fois cette époque arrivée, on trouvera toujours moyen de créer un nouveau besoin (langage marketing) et donc créer une nouvelle communauté car quand même l’être humain a besoin d’une innovation de temps en temps (faut quand même pas le prendre pour un con l’humain ! lol). Mais toujours « raisonnablement » en faisaint attention à ce que le panel de groupes de consommateurs soit le plus réduit possible.
Je prends un exemple a la con : les tomates. Il y a 100 ans, des centaines de variétés de tomates existaient, mais c’était chiant de les proposer toutes dans l’offre pour les mêmes raisons que citées au début de mon post.
Résultat, combien reste-t-il de variétés ? On les a même modifiées génétiquement... imaginez un peu ce qui nous attend... 