La dirigeante Kadima, Tzipi Livni, a soutenu, quant à elle, les « principes » suivis par les soldats israéliens.
avec son CV que voulez qu’elle fasse d’autre ? Elle en sort !
Agent du Mossad [modifier]
Au début des années 1980, après avoir fait une année de droit et quitté l’armée (abandonnant alors son grade de lieutenant), Livni se mit à travailler pour leMossad. On ne sait pas exactement combien de temps ni sur quelles missions elle fut engagée, et Tzipi Livni se garde d’en parler avec précision : « J’ai servi pendant quatre ans au sein du Mossad. J’ai également suivi des stages de formation et j’ai été en fonctions à l’étranger », souffla-t-elle laconiquement à la radio militaire israélienne4. Les médias israéliens et étrangers avaient déjà évoqué son passé au sein du service de renseignement israélien, entre 1980 et 1984, mais elle n’avait jusqu’alors jamais confirmé ces informations.
Elle occupa officiellement le poste de conseillère juridique de 1980 à 1984, mais aurait été, selon le Sunday Times5, un agent clé en Europe pour au moins quatre ans, période durant laquelle elle aurait appartenu au Kidon (baïonnette en hébreu : service action du Mossad). Francophone, elle aurait été basée à Paris et dirigé ce que l’on appelle une safe house, maison sécurisée servant de base arrière ou de lieu de repli pour ses collègues du Mossad. Comme pour tous les agents secrets, ses états de services restent confidentiels, mais le Sunday Times ainsi que le site d’information journalistique Bakchich rappellent deux affaires ayant eu lieu sur son terrain d’action, entre 1980 et 1983
Elle démissionne en 1984 pour retourner en Israël et terminer ses études de droit, en raison, selon le Times, de trop fortes pressions dans son travail d’agent secret. « J’ai quitté le Mossad quand je me suis mariée, car je ne pouvais plus vivre ce genre de vie », avait-elle officiellement expliqué.
pas un exemple d’impartialité... la Kidonnette... c’est comme la balayette. Oui, là.