Pour ce qui est du déni et de la parano, les Israélos se sont formés à l’école du Coran de leurs frères sémites :
:
la taqiya ou mensonge stratégique
Source wikipediahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Taqiya
Mahomet
autorisait le mensonge pour trois cas : faire cesser une querelle entre
deux parties, calmer sa femme, et à la guerre[11].
En conséquence, les ulémas
des quatre écoles juridiques agréent sur la
légitimité de la tromperie pendant la guerre, où le mensonge est compris
comme une forme de l’art de la guerre[12].
Cette tromperie est assimilée à un acte de taqiya[13].
Le mensonge est une arme considérée comme honorable, son manque de
noblesse étant plus que compensé par la gloire de l’hégémonie de la charia ;
car cette hégémonie est vue comme favorable à tous – musulmans et
non-musulmans – ainsi les moyens pour y arriver ont un but clairement
altruiste aux yeux des islamistes[5].
- Ibn al-’Arabi, sur les hadiths : « Dans les hadith, la
pratique du
mensonge à la guerre est bien décrite. D’ailleurs, il est présenté
comme plus nécessaire que le courage »[14].
- Ibn
al-Munir (décédé en 1333) : « La guerre la plus complète et
la plus parfaite qu’il soit possible de mener dans la guerre sainte est
une guerre de tromperie et non d’affrontement, parce que celle-ci est
intrinsèquement dangereuse et qu’il est possible d’atteindre la victoire
par la tricherie sans subir soi-même de dommages »[14].
- Ibn
Hajar (décédé en 1448) : « Soyez très prudents à la guerre,
tout en se lamentant et en pleurant [publiquement] afin de duper les
infidèles »[14].
Selon la charia, les musulmans peuvent appliquer la taqiya en reniant
leur parole pour dénoncer un traité s’ils pensent, avec ou sans preuves
consistantes, que leurs adversaires vont incessamment le rompre. Selon
cette même charia vue par certaines écoles juridiques islamiques
(notamment celle
des Hanafites), les
musulmans ne doivent respecter
les traités que si ces derniers sont avantageux pour l’Islam[13].
Cet aspect de la charia est basé sur certains hadiths canoniques tels
que celui-ci : « Si vous prêtez un jour serment de faire quelque
chose
et découvrez par la suite que quelque chose d’autre est mieux, alors
dénoncez votre serment et faites ce qui est mieux »[15].
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parmi les moins connus des « beaux noms » d’Allah, on trouve le nom
de « El Maker », qui signifie « le Fourbe », ou « la ruse divine ».
La « machination divine » est la réponse du coran –
adjointe à celle de l’istidraj, « l’action divine graduée » – au
problème de la prospérité visible de ceux qui ne la méritent pas.
Autrement dit, Dieu « trompe » les méchants en les laissant
provisoirement prospérer[7].
Selon Ahmed Tijani[8],
« La ruse divine (El Makr) est la manifestation d’un bienfait
sur un serviteur et son accroissement jusqu’à être entrainé à sa
perdition à cause de ce même bienfait-là. »
— Djawahirou-l-Ma’ani, par
Ali Harazim, page 180.