Il serait temps que les blogeurs d’Agoravox fassent un effort de compréhension et d’information :
Comment accuser les libéraux européens de défendre les « les privilégiés de la République ».
Sans eux, ce serait bien pire. Grace à eux, les tarifs du téléphone et de l’internet ont baissé. Bientôt nous pourrons prendre le train avec une meilleure garantie de circulation et des tarifs plus avantageux (le service public pourra réellement fonctionner lorsqu’il sera assuré par différentes compagnies privées).
Les « les privilégiés de la République » sont les haut-fonctionnaires qui squattent les conseils d’administrations des principales entreprises du CAC40. Ce sont les fonctionnaires ayant le formidable privilège (non justifié) d’avoir une garantie de l’emploi et une retraite payé par les salariés du privé (SNCF) ou les consommateurs (EDF). Voilà ce que dénoncent les libéraux.
Comme le courant libéral, en France, est quasi inexistant, heureusement que chez beaucoup de nos partenaires européens, ces courants on leurs mots à dire et défendent réellement les intérêts des salariés (moins de chômage) et des contribuables (que nous sommes tous).
Ce sont les mêmes qui freinent les penchants « subventionnistes » de la PAC (affameur de l’Afrique).
Sans l’Europe, en plus de la paix (qui justifie à elle seule tout le reste), il y a longtemps que la France serait devenu un pays du tiers monde.
Il faut vraiment adhérer aux délires paranoïaques des extrémistes de droite ou de gauche pour vouloir en sortir à tout prix. Et cela malgré ses inévitables lourdeurs technocratiques, et ses valses hésitations fréquentes sur tout les sujets.
Comme toujours, et en politique plus qu’ailleurs, le mieux est l’ennemi du bien, et comme il n’existe pas de système politique idéal, il faut toujours voir celui qui commet le moins de dégâts.