@ auteur
Désolé d’abuser pour cet aparté
on peut lire :
J’avais un truc à dire à Mam Germaine.
Bonjour mam germaine ça va ? Alors votre fiston toujours en train de
causer avec avec les générateurs de texte transformistes. ? Il n’en rate
pas une .Puisque je vous cause , j’en profite pour vous rappeler que
vot’fiston tient pas trop le jaja et que dès qu’il est passé 18h il a
plutôt tendance à partir en vrille et dire toutes les conneries qui lui
passent par la tête.
Enfin c’est vous qui voyez les sentiments maternels ça se discute pas…
Ph. Renève 5 juin 2010
Oui, j’abonde dans ton sens, Furtif.
Il commence à venir ici des gens qui nous ont copieusement insultés sur l’autre site.
Il serait plutôt mal venu qu’ils ne changent pas d’esprit et qu’ils se comportent comme si ces insultes n’avaient jamais existé.
Nous sommes gentils et tolérants, mais pas prêts à supporter certains personnages s’ils ne changent pas radicalement de comportement.
Toutes les opinions sont bienvenues ici, mais la condition sine qua non est le respect des autres et la courtoisie, fût-ce dans un débat animé.
A bon entendeur…
On n’a pas mis de videurs à l’entrée mais quand même , y en a qui manquent pas d’air…
Miroton mirontaine .......... Madame Germaine !!
Le vendredi, j’avoue de vous à vous j’avais grosse envie de compléter un peu l’hippophagie subite du maïtre-queue Léon
http://virtualweberbullet.com/meatcharts.html
un supersite universitaire... ressemblant aux travaux RMN IRM en anatomie humaine http://bovine.unl.edu/bovine3D/eng/index.jsp
sur les abattoirs de Paris un chevillard historien
tout en détaillant la spécialité hippo d’Alsace le jour des fêtes ( Messti, Kelwa) notre « daube de cheval » le Rossbif «
que connait Rocla des macarons Hermé avec ou sans Ionone de pharmacie
à GB un peu d’ Opium Ordnung muss sein !! Bon Kourrasch l’Ami Bellecour et bises de ma part à la Belle Cordelière
on encor’ une fois donc beaucoup Merci mon Colonel eR de la Snouppe ! A charge de revanche un clin d’oeil .
Whoe’er has gone thro’ London street,
Has seen a butcher gazing at his meat,
And how he keeps
Gloating upon a sheep’s
Or bullock’s personals,
as if his own ;
How he admires his halves
And quarters–and his calves,
As if in truth upon his own legs grown.”
Thomas Hood, 19th century poet and humorist