Comment expliquer les différents anachronismes Égyptien ?..
y’en a pas : on arrive à expliquer toutes les constructions. ET y’a sans doute pas de chambres supplémentaires dans les pyramides...
Il semblerait donc que les Égyptiens maitrisaient le travail du fer et le placage d’or près de deux mille ans avant l’âge du fer, ce qui va à l’encontre de ce que l’on pensait savoir...
la plaque n’a pas été authentifiée comme égyptienne.
on parle peu du revêtement des pyramides (visible uniquement sur le sommet de la pyramide de Khéphren, ici
c’était de la pierre rendue lisse : au loin elles brillaient, c’est tout.
La surface des blocs est parfaitement plane avec une erreur de 50 microns (soit un peu plus petit que la longueur d’un spermatozoïde, c’est microscopique !).
c’est faux, ça n’a jamais été cette dimension !
afin d’ériger ses pyramides, a t elle pu atteindre ce niveau perfection (équivalent à la précision requise dans nos industries aéronautiques et nos outils laser les plus perfectionné) ?.....
faux et archifaux : votre théorie repose sur une tricherie : ça n’a jamais été aussi lisse.
Petrie s’est disquaifié avec ça :
« When it could be turned over an inscription of Merenptah recording his triumphs over the Libyans and the Peoples of the Sea was revealed ; [Wilhelm] Spiegelberg [a noted German philologist] came over to read it, and near the end of the text he was puzzled by one, that of a people or tribe whom Merenptah had victoriously smitten— »I.si.ri.ar ?« It was Petrie whose quick imaginative mind leapt[t] to the solution : »Israel !« Spiegelberg agreed that it must be so. »Won’t the reverends be pleased ?« was his comment. At dinner that evening Petrie prophesied : »This stele will be better known in the world than anything else I have found.« It was the first mention of the word »Israel" in any Egyptian text and the news made headlines when it reached the English papers.
les écrits de Petrie sont à côté de la plaque sur plusieurs points : il projette bien trop dedans son EPOQUE :
Petrie avait en particulier une vision eugéniste du monde... :
Four years later, Petrie (1911 : 105) published Revolutions, a short volume in which the main purpose was to find the ’real nature of human progress.’ In Revolutions, Petrie argued that without diversity and competition within societies, there would be no progression. In man�s striving with nature and with other men, the stronger would survive and be selected to continue. This was true in physical abilities like war and battle as well as in mental abilities like art and science. He claimed that in the not-too-distant future eugenics would be able to establish a new, capable civilisation in the place of an old, unfit one. Eugenic practices would ’carefully segregate fine races and prohibit continued mixture, until they have a distinct type which will start a new civilisation when transplanted. The future progress of man may depend as much on isolation to establish a type, as on fusion of types’ (Petrie 1911 : 131).
The segregation of ’fine’ races would be done, as he had argued in Janus, through state-monitored marriages and reproduction as well as state-monitored abstinence and sterilisation.
c’est une autre partie de ce qui le disqualifie... complètement.