@ auteur
Etudiez votre statuts avant d’écrire de telles inepties
la garantie de l’emploi vous l’avez même si la loi sur la mobilité a donné quelques coups de boutoir. Les collectivités publiques ont le droit de « radier des cadres », ce que vous appelez licenciement mais vous n’écrivez mots au sujet de la prise en charge qui est nettement plus favorable que dans le privé.
En ce qui concerne les salaires : les disparités sont de part et d’autres
La retraite : le pb est complexe car il n’y a pas prise en charge de complémentaire par l’employeur comme dans certaines société et que l’assiette repose sur le traitement de base et non la rémunération même s’ll y a la rafp.
Cette nécessité de service, comme vous la définissez, est une contrainte qui peut se vérifier également dans le privé
indiquez la base de ce principe de non concurrence ! Ce principe est inexacte ! D’où sortez vous cela ? Pour être crédible il faut vérifier ses sources.
l’exclusivité d’activité rémunératrice est une obligation qui a été nettement altérée par la loi de février 2007. Ceci étant il est vrai que cette contrainte est supérieure à celle des salariés du privé.
Le devoir de réserve n’est pas ce que vous indiquez ! le devoir de réserve n’existe dans aucun texte c’est une construction jurisprudentielle qui vous interdit de critiquer en publique le fonctionnement des services publics, si et seulement, si vous n’en êtes pas usager. Par ailleurs, l’article 40 de code procédure pénale vous oblige au contraire de prévenir le proc de tout délit. Ce qui n’est pas toujours le cas pour un salarié du privé
par contre c’est l’obligation de probité qui est beaucoup plus importante pour un fonctionnaire que pour un salarié car vous n’avez pas les droit de « nuire à l’image » de la fonction. Ainsi parfois un délit commis, y compris dans la sphère, privé peut conduire à la révocation.