Malgrè le fait que je soit juif, que j’ai eu des deporté dans ma famille (heureusement très peu) et que je n’aime pas entendre des personnes contester la shoah, je trouve que cette loie est une grave atteinte à nos liberté. elle est anti républicaine et ne devrait pas exister. C’est une honte, et elle donne directement et automatiquement le statut de victime aux vrai connards qui se permettent de contester la Shoah.

On n’interdit pas la connerie, on la raisonne ! Et si on ne peut pas la raisonner, on la meprise.

De plus , apparament , si on a pas le droit de contester des crimes contre l’humanité, on ne nous dit pas si on a le droit de reveler, de devoiler des crimes contre l’humanité qui ne serait pas reconnu comme tel. A titre d’information, je suis en train d’enqueter de manière personnelle, pour Av, pour obtenir des information sur un génocide que notre armée aurait commis au Cameroun après la seconde guerre mondiale et jusque dans les années 70. Il s’agit du génocide d’une tribu qui était très importante qui s’appelle les Bamilékés. Si j’arrive a rassembler plusieurs temoignages, de personnes à l’ambassade du Cameroun, de descendants de victimes et d’historiens pourrait on prouver que par son mepris, par le brouillard qui est laissé sur notre histoire, l’Etat à bafoué cette loi qu’est la loie Gayssot. Il s’agit quand même de plus de 400 000 morts, des morts qui en plus se sont battus pour l’armée francaise en 14-18 et 39-45.

Si notre nabot de président avait pris la peine de celebrer le dizieme anniversaire du fait que l’on considère comme un crime contre l’humanité la traite negrière, plutot que d’aller à Metz voir le déplacement du musée Beaubourt, j’aurai pu croire que cette loi (à la con je le répète) était commune pour l’ensemble des francais. Mais non, on préfère schialer sur les victime de la Shoah, dont la France n’est pas responsable en grande partie, plutot que de prendre nos responsabilité dans les horreurs que nous avons commis.
« Hardcore comme reconnaitre ses torts ! » « Ne comprendrons que ceux qui doivent comprendre ». Alix

Al Batar