Il y a plusieurs problèmes.
Tout d’abord, il semble qu’au départ Cap Sogéti ait été prise un peu comme on prend un avocat dans l’affaire avec Microcelt. Même s’il perd le procès on peut considérer qu’il a bien fait son travail et le garder pour une prochaine fois. Au vu de la suite, on peut penser que Cap Sogeti a réagi en professionnel. Le Cap considère qu’au lieu de tout jeter, il y a quelque-chose à faire avec Microcelt. Ce n’est pas criticable, au contraire.
Les reste est dans la conclusion de l’article.
Le client ne doit pas avoir les connaissances nécessaires pour valider son prestataire, sauf s’il est de la partie ou bien s’il a un service informatiques interne. On peut considérer que l’ESA doit valider ses prestataires pour contruire la fusée Ariane mais surement pas qu’un restaurateur doit être capable de valider son logiciel de caisse. Il ne faut pas tout mélanger.
Comme le dit le commentaire précédent, lorsqu’on n’y connaît rien le mieux est de s’en remettre à quelqu’un qui a pignon sur rue et le Cap est un bon choix. Malheureusement les prix ne sont pas les mêmes.
La bonne conduite à tenir est de ne pas chercher à avoir un logiciel qui corresponde à son entreprise mais au contraire de modifier le fonctionnement de son entreprise lorsqu’il existe un logiciel bien rodé qui fait à peu prés la même chose. Cette attitude est devenue classique dans le bâtient et l’automobile. Imgainez-vous un constructeur d’immeubles nécessitant des fers aux dimensions différentes de ce que sort la sidérurgie ? Bien sûr que non. Leurs architectes plannifient des bâtiments qui sont faisables avec ce qu’on trouve sur le marché.
Si Le Duff est dans la restauration, ils n’ont qu’à acheter le même truc que Mac Donald ou que Novotel.