A chaque époque son film d’épouvante. Nous, nous n’avions pas le film d’Al gore, mais « Dr Folamour », à cette époque, russes, et américains (et aussi un peu la France avec le Professeur Rocard, père de Michel) faisaient exploser des bombes « A » de plus en plus grosses, puis des « H » en pleine atmosphère s’il vous plaît. A coté de ce que nous avons respirer, Tchernobyl n’est qu’un petit brouillard matinal. Et ces fameuses bombes, on nous promettaient de nous les balancer directement sur la « margoulette ». Mais l’expérience a montrer que l’humanité aimait se faire peur jusqu’à s’approcher tout au bord du gouffre avant de faire brusquement demi-tour. Moi aussi je fais confiance à la technologie, elle seule nous tirera d’affaire, mais progressivement. Et d’ici là, si vous voulez passer votre vie à stresser, sachez que l’infarctus vous guette plus rapidement que ne le fera le réchauffement de la terre. Quant à l’utilisation du charbon dans des centrales, le pire n’est pas le CO2, il y a plus grave, ce sont les dérivés de l’azote. Heureusement, c’est déjà résolu, « L’air Liquide » (entre autre) possède parfaitement la technique, en brûlant ce charbon non pas avec de l’air mais avec de l’oxygène pur ( personne n’en parle). Reste tout de même le « célèbre » CO2, mais là aussi la technique y pourvoira (des pistes existent déjà). Le danger principal serait plutôt la surpopulation, nous sommes passé de 1 milliard d’habitants à 7 milliards en seulement cent ans, et là, dans cent autres années (si on prolonge la courbe) avoir chacun sa petite auto, va devenir difficile. Il faudra bien tôt ou tard « fermer un peu notre robinet » (ne voyez ici aucune allusion à Pascal Sevran).