Chacun a ce qu’il mérite... ou... autrement dit... « il vous sera fait selon votre foi »


dans la vie parce que la vie elle est juste, mais pas à Babylone, babylone est le summum de l’iniquité érigé en voulue civilisation quand c’est une bétaillère avant tout et ses fonctionnements hiérarchiques militaristes débilitants.

Un badge et vous êtes un dieu, pas de badge un esclave... c’est l’étt, veuillez kécher les pieds du présiden et vous urez un badge... ça va pas plus loin... vous aimez ? oui, alors en effet... chacun a ce qu’il mérite.


Mais à Babylone il faut être un malfrat et accepter les massacres continuels et les intégrer dans une « normalité » silencieuse sur toutes les injustices qui s’empilent comme des déchets nucléaires, des préjudices sans fin faits à la vie avec des dirigeants complètement corrompus qui ne cherchent absolument plus le bonheur des citoyens, mais à bien instaurer le système de leurs maîtres, sans plus aucune autonomie ni indépendance.

Nous sommes déjà en tyranie, mais les bons travailleurs ne le voient pas, pris dans leur cirque complaisant et quotidien où ils travaillent pour l’argent.

 sadique et hideuse, une machinerie qui blesse les êtres au fond d’eux-mêmes en permanence, par le jugement continuel des super bien pensants et génies de toutes sortes, excuses, j’oublie les légions innombrables de saints nouveaux et de gourous de toutes sortes lévitamt dans les airs... même si on ne voit pas à quoi diable cela pourrait bien servir, restent les complaisants qui ont besoin de ces chefs sinon savent plus où pisser... ya pas à dire... une vraie civilisation hein... du genre de celles qui durent trois mois tant toutes les bases sont erronées et les fonctionnements robotiques, répétitifs, sont maladifs.


A Babylone il faut accepter les plus grandes injustices et apprendre à rire du malheur d’autrui pour faire « carrière »... entendez... casser du caillou pour les rothschilds pour faire tourner la bétaillère à ordres pourris. Dites YES SIR et vous aurez une glace, sinon des coups dans la gueule.

vous voulez pas ?

alors vous n’existez pas, simple comme bonjour et aurevoir.