@ Briéli,
Je ne sais si je dois lire une forme d’ironie dans votre : « c’est bien le retour au clan » En tous cas, si l’idée d’un clan parfaitement fermé ne me convient guère, je me dois de reconnaître qu’au moins, on sait où l’on pose les pieds.
On est là, loin des guignols qui font un concours de danse sur scène pour se voir descerner le titre de « miss politique » de l’année.
Je crois comprendre que nous nous rejoignons sur ce point, dans le sens où la prégnance des médias et leur partialité, voire leur connivence directe avec les intéressés, fausse totalement l’information.
Le choix d’un élu, qu’il soit local ou national, se doit d’être fait dans un contexte parfaitement impartial afin de laisser chacun décider en fonction d’un programme prévu et étudié, et non pas d’une notoriété de pacotille bling-bling...
Au-delà du choix démocratique des électeurs, au-delà de la proportionnelle à laquelle j’adhère également, il faudrait que soit instaurée une ligne de conduite avec une forme de compte à rendre.
Respect du programme engagé, non cumul de mandat, implication quotidienne au rôle dévolu, possibilité (je ne sais sous quelle forme ?) de remettre en question la pertinence du candidat élu à sa fonction s’il s’avère inapte aux tâches qu’il est censé remplir.
Nous sommes les employeurs de nos élus, ils nous doivent intégrité et respect de leurs engagements. Sinon, ils doivent pouvoir être virés.
C’est pas comme ça que ça se passe dans le privé, hmmm ?
Et enfin, oui, bien d’accord, dans la même lignée, sur une séparation absolue de l’influence de tout lobbyisme quel qu’il soit.
Mais bon, je me dis qu’on rêve, là...