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Commentaire de clostra

sur Monsieur Woerth, l'état n'est pas là pour financer vos amitiés intéressées


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clostra 29 juin 2010 12:17

Ce qui doit le plus inquiéter c’est effectivement l’absence - la répression ? - de tout contre pouvoir ajouté à quelque chose de tout à fait nouveau me semble-t-il dans la vie politique française (quelque chose de « pas dans la culture ») qui est de croire et d’agir de façon « inflexible » en proclamant haut et fort qu’on a été élu et donc qu’on a tous les droits.

Ainsi, localement par exemple, les instances démocratiques - par exemple les Conseils de quartier - sont composés de membres désignés par le maire, même si en valeur absolue le nombre de voix obtenues ne dépasse pas les 30% des habitants d’une ville, d’une commune. Et ceci aboutit à des situations tragiques parfois.

Un autre aspect sur lequel il faudra être éclairé sont des prises de positions de députés élus localement également. Par exemple, le nôtre s’est mis à défendre la position d’une association, l’ADMD (Association du Droit à Mourir dans la Dignité) qui, on ole sait veut « entièrement » légaliser l’euthanasie. Nombre des 30% de la population qui a élu ce député n’ont été consultés. Pourquoi ne pas commencer par le commencement : soutenir l’action de l’association JALMALV pour obtenir des moyens supplémentaires pour les soins paliatifs ?

Bien sûr, il se trouve sur le territoire de l’Agglomération, également présidé par le même, un hôpital où un médecin hospitalier défend l’euthanasie devant les médias probablement avec l’aval de ses confrères. Un nouvel immense hôpital est en construction...Qui qui va présider le conseil d’administration de cet hôpital ?

Y’a les sous mais pas que.

Les aveugles verront mais ils regretteront leur cécité !

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