On sait depuis Einstein (et même un peu avant) que le temps est un ESPACE ; et que, dès lors, selon la vitesse à laquelle on peut parcourir cet espace, on pourrait (virtuellement) avoir autant accès à son passé qu’à son futur.
Par ailleurs, d’autres recherhces ont prouvé que cet espace peut tout aussi bien être « vertical » qu’horizontal ; et, donc, qu’existe, dans une dimension, la simultanéité passé-présent-futur...
Le seul ’hic« à l’accès à cette simultanéité est, juusqu’à présent, uniquement une question de.... vitesse ; la vitesse la plus grande connue, dans notre univers, étant celle de la lumière.
Mais, pour nombre de scientifiques, sérieux, notre univers n’est pas unique ; il peut exister un, voire des centaines d’univers parallèlles...
Dès lors, nul ne sait quelle peut être la vitesse maximale des ondes, dans ces univers, ni les »connexions« qui peuvent exister entre ces univers et le nôtre...
Il n’est pas ici question de charlatans avec des théories fumeuses, mais, comme le montre l’article de Cabanel, de scientifiques avérés, astro-physiciens de renommée mondiale..
On est encore très très loin d’avoir décodé les »mystères" de l’univers, et pas encore trouvé LA théorie scientifique qui serait capable de faire le lien entre les lois régissant l’infiniment petit (mécanique quantique) et celles régissant l’infiniment grand (astro-physique post-einsteinienne). Certaines théories s’y essaient (théorie des cordes), mais nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de ces recherches.
Dommage que nous n’ayons pas le temps de vivre suffisant pour être là, quand les recherches scientifiques permettront d’élucider un tas de données jusqu’ici inconnues (masse noire, univers parallelles, etc....)
En attendant, merci Olivier pour cet article, qui ouvre quelques portes ; l’avenir dira si ce sont des chemins sans issue, ou des voies royales pour comprendre toute la complexité de l’univers...
A suivre...