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Commentaire de Professeur Eckhart Von Treelok

sur Mme Bettencourt en tennis, Claire Chazal en hauts talons : la puissance de la métonymie


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Professeur Eckhart Von Treelok Professeur Eckhart Von Treelok 5 juillet 2010 20:33


Et bien, très cher et éminent confrère, vous me voyez ravi de vous revoir à nouveau et de nouveau parmi nous : je me réjouis à l’avance du débat auquel aujourd’hui hic et nunc vous nous invitez : après donc nos vives discussions en matière de leurrologie bovicognitive, un débat plus posé et donc moins agité sur la martinologie teenienne, aujourd’hui donc cher Pr. Villach vous nous invitez à réfléchir sur la savatologie élitéenne dans une perspective leurrobovidique ! Bravo Maestro ! Il fallait oser, et à nouveau comme de nouveau, vous démontrez que vous êtes LA référence inconnetournable en la matière !

 

Et bien chiche ! ce domaine est bien trop souvent laissé à des ignares pseudo-lectuels qui donc n’y comprennent rien ni n’y entendent rien et vice versa : et au vu de l’importance manifeste en dépit de la méconnaissance générale, elle aussi tout aussi manifeste, quant à la science savatologique contemporaine  : je vous remercie encore une fois très cher et estimé confrère, d’éclairer cette agora où pullulent autant crasseux ignorants qu’autres inculturés à l’hygiène encore plus douteuse ! Je salue, et nombreux sont ceux qui vous saluent avec moi, cette démarche leurrogogique en vue de restaurer quelque hygiène mentale ou autre dans cette basse-fosse virtuelle !

 

Et étant moi-même, un spécialiste reconnu en leurrologie bovicognitive, bien entendu loin de votre niveau très cher et éminent Pr. Villach, je vous invite tout de même avec modestie humiliatoire, à vous intéresser à mon précis de métonymerie intericonicitaire en contexte merdiatique : « Techniques métonymeuses et translations intericono-vectorielles appliquées à l’informationisme vacuueux post-moderne ».

 

Après ces hors-d’oeuvre introductatoires, je vais, comme à mon habitude, reprendre certains de vos propos et les compléter de modestes réflexions en la matière.

 

Donc vous écrivez, très cher et estimé confrère : - Le stéréotype de la milliardaire contredit

 

Et bien, très cher et éminent confrère, à l’évidence, vous n’avez point lu le traité d’Elitologie Grabatairienne de la non-moins éminente Cassolète de la Bourgerie, intitulé : Esthètique épidermeuse et dissimulation ergoleurrologique chez le bonobus elitus altoburgus 

 

Ainsi, vous auriez saisi le choix de couleurs monochromatiques, et la lumineuse clarté qui chez le bonobus elitus altoburgus adulte et femelle a avant tout une dimension esthéto-dermique : le but étant de cacher la teinte grabato-jaunaire typique du bonobus elitus altoburgus en fin de vie.

 

Quant au mobilier dépouillé et minimalatoire : il s’inscrit dans les techniques de dissimulation ergoleurrologique du bonobus elitus altoburgus (pour faire plus court, j’utiliserai dorénavant le terme plus usuel de bonobo élitéen) de son butin et cela afin de tromper son cousin le bonobus larvus gregarius ou bonobus proletarius idiotus au tempérament autant plus primitif que cleptomaniaque :

 

les bonobos élitéens procédant dans la même logique à des migrations saisonnières vers des biotopes de type hypofiscalien plus favorables à leur éco-métabolisme particulier : l’Helvétie étant connue pour la richesse de sa faune&flore hypofiscalienne ainsi que ses nombreuses réserves naturelles favorisant le développement des colonies de bonobos élitéens migrateurs.

 

Mais continuons, et arrêtons-nous un moment à ce passage de votre excellent essai et entrons donc directement dans le cœur du sujet, très cher et estimé Pr. Villach : soit la savatologie élitéenne ! 

 

- La puissance de la métonymie : les tennis de Mme Bettencourt 

 

Ici, avant de développer en matière savatologique, arrêtons-nous quelques instants sur la scène que vous décrivez et envisageant une analyse sous l’angle de la zoocio-codologie bonobique, ou codo-zoociologie bovidique (c’est selon !) et prenons comme référence la référence inconnetournable en la matière : le majestueux essai de Pompino Gobino intitulé « Codes zoociaux, hiérarchisme bonobique et lutte darwino-castique dans la famille bonobus »

 

Il s’agit là, évidemment comme vous l’avez certainement compris, très cher et éminent confrère, d’une rareté zoociologique que de voir en direct la confrontation entre un spécimen grabato-femelle de bonobus elitus et un spécimen maturo-femelle de bonobus vulgarus : si nous avons lu avec attention Pompino Gobino, nous aurons compris alors qu’ici la femelle bonobus vulgarus est en parade séducto-frimatoire, encore empêtrée dans sa primitivité supra-beaufique : et donc elle tente naïvement d’attirer l’attention en se parant de ses plus beaux atours : la femelle bonobus elitus quant à elle, loin de ses considérations primaires s’en contrefout bien évidemment : ses migrations saisonnières vers des zones hypofiscales l’ont depuis longtemps immunisée contre le syndrôme de parvenuite ostentatif bonobique chronique.

 

Quant aux positions respectives : et bien à nouveau, l’attitude décontractoire de la grabato-femelle bonobus elitus en contraste avec la pause humilio-défératoire de la maturo-femelle bonobus vulgarus nous révèle selon Pompino Gobino, à nouveau : les codes zoociaux en vigueur dés lors que des espèces différentes de la famille bonobus seront confrontées : généralement face à l’attitude paisible et arrogantoire du bonobus elitus se voit opposée un ensemble de pauses humilio-défératoires chez bonobus vulgarus  : marquant en apparence sa position darwino-castique autant qu’en profondeur les pulsions darwino-elitocides qui l’habitent.   

 

Soit poursuivons, et concluons donc par la savatologie élitéenne et sur ce qu’elle peut nous apporter dans l’analyse de ce documentaire animalier nous présentant l’interaction entre un bonobus vulgarus mediaticus et un bonobus elitus altoburgus dans son environnement naturel :

 

La puissance de la métonymie : les tennis de Mme Bettencourt 

Et bien, non très cher Pr. Villach il ne s’agit pas là de tennis mais d’une paire de sneakkera asiatica : ce que vous auriez su, si vous vous étiez attardé sur la lecture du Précis de Savatique Elitéenne Podogonomique encore une fois de l’éminente savatologue et fashionologue Cassolète de la Bourgerie ( à complèter avec la lecture de l’annexe Luxitude Ostentative où elle développe aussi sur les poches uro-fécales Vuitton, YSL ou D&B, ou bien encore comme présenté récemment ici-même sur AV sur les ano-plugs en diamant, ainsi que l’oralosertion rituelle de cuillères en argent chez les bonobus elitus puerilus).

 

Vous auriez alors reconnu, alors sans l’ombre d’un doute aucun et vice-versa, une paire de sneakera asiatica luxuosa en peau de niakweï : le niakweï étant un proche cousin du bonobus larvus occidentalis : le niakweï étant connu lui sous le nom de bonobus termitius asiaticus. 

 

Disposer de sneakera asiatica luxuosa en peau de niakweï étant selon la formule de la fashionologue Cassolète de la Bourgerie le moyen le plus incontournable pour le bonobus elitus de se conformer à l’injonction zoociale dans leur espèce du semper hype et trash, sans compter bien entendu l’incomparable et soyeuse douceur de la peau de niakweï : cette texture silkienne étant obtenue par un processus complexe allant de l’élevage de bonobus asiaticus génétiquement sélectionnés dans ce but jusqu’au sacrifice rituel, typique chez les bonobos bambouéens de rite mao-sojaïste.

 

Sacrifice se faisant par empalement rituel sur un bambou phallomorphe et cela afin de préserver autant l’intégrité que la fraîcheur de l’épiderme du jeune bonobus asiaticus sacrifié pour cette occasion : soit les sacrifices en l’honneur de la divinité suprême du Bambouïsme : le dieu Tôwföo Söw-Jah. La récolte de l’épiderme, elle se faisant à l’aide d’un racloir en céramique ming : selon les principes établis par l’école du grand maître bambouïste Saké Sepukku ; quant au post-traitement de l’épiderme visant à assurer sa plasticité ergodermique : il se fait à base d’extraits des glandes sudatives de bonobus asiaticus pré-pubère.

 

La finalité de l’usage de sneakkera asiatica luxuosa chez les bonobus elitus étant ainsi d’affirmer leur supériorité dans l’ordre darwino-castique en vigueur au sein des espèces de la famille bonobus : une formulation plus usuelle serait : je vous marche sur la gueule…

 

En espèrant, que ces informations sauront vous aider dans vos recherches en leurrologie bovicognitive autant que savatologie contemporaine, veuillez agréer très cher Pr. Villach mes plus sincères salutations.

 

 Professeur Eckhart von Treelok,

phD en Métaphysique acrobatique du Tube et Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en Théorie de la Turpitude à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu) 
Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitön-Süshi (district de Makï-Saké), titulaire d’une chaire en physique des condoms à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)

 


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