Et bien, très
cher et éminent confrère, vous me voyez ravi de vous revoir à nouveau et de
nouveau parmi nous : je me réjouis à l’avance du débat auquel aujourd’hui hic et nunc vous nous invitez :
après donc nos vives discussions en matière de leurrologie bovicognitive,
un débat plus posé et donc moins agité sur la martinologie teenienne,
aujourd’hui donc cher Pr. Villach vous nous invitez à réfléchir sur la savatologie élitéenne dans une perspective leurrobovidique ! Bravo
Maestro ! Il fallait oser, et à nouveau comme de nouveau, vous démontrez
que vous êtes LA référence inconnetournable en la matière !
Et bien
chiche ! ce domaine est bien trop souvent laissé à des ignares pseudo-lectuels qui donc n’y comprennent
rien ni n’y entendent rien et vice versa : et au vu de l’importance
manifeste en dépit de la méconnaissance générale, elle aussi tout aussi
manifeste, quant à la science
savatologique contemporaine :
je vous remercie encore une fois très cher et estimé confrère, d’éclairer cette
agora où pullulent autant crasseux ignorants qu’autres inculturés à l’hygiène
encore plus douteuse ! Je salue, et
nombreux sont ceux qui vous saluent avec moi, cette démarche leurrogogique en vue de restaurer
quelque hygiène mentale ou autre dans cette basse-fosse virtuelle !
Et étant
moi-même, un spécialiste reconnu en leurrologie bovicognitive, bien
entendu loin de votre niveau très cher et éminent Pr. Villach, je vous invite
tout de même avec modestie humiliatoire,
à vous intéresser à mon précis de métonymerie
intericonicitaire en contexte merdiatique : « Techniques
métonymeuses et translations intericono-vectorielles appliquées à
l’informationisme vacuueux post-moderne ».
Après ces
hors-d’oeuvre introductatoires, je
vais, comme à mon habitude, reprendre certains de vos propos et les compléter de
modestes réflexions en la matière.
Donc vous
écrivez, très cher et estimé confrère : - Le stéréotype de la milliardaire contredit
Et bien, très
cher et éminent confrère, à l’évidence, vous n’avez point lu le traité d’Elitologie Grabatairienne de la
non-moins éminente Cassolète de la
Bourgerie, intitulé : Esthètique épidermeuse et dissimulation ergoleurrologique
chez le bonobus elitus altoburgus
Ainsi, vous
auriez saisi le choix de couleurs monochromatiques, et la lumineuse clarté qui
chez le bonobus elitus altoburgus adulte et femelle a avant tout une
dimension esthéto-dermique : le
but étant de cacher la teinte grabato-jaunaire
typique du bonobus elitus altoburgus en fin de vie.
Quant au mobilier
dépouillé et minimalatoire : il
s’inscrit dans les techniques de dissimulation ergoleurrologique du bonobus
elitus altoburgus (pour faire plus court, j’utiliserai dorénavant le
terme plus usuel de bonobo élitéen)
de son butin et cela afin de tromper son cousin le bonobus larvus gregarius
ou bonobus
proletarius idiotus au tempérament autant plus primitif que
cleptomaniaque :
les bonobos
élitéens procédant dans la même logique à des migrations saisonnières
vers des biotopes de type hypofiscalien plus
favorables à leur éco-métabolisme
particulier : l’Helvétie étant connue pour la richesse de sa faune&flore hypofiscalienne ainsi
que ses nombreuses réserves naturelles favorisant le développement des colonies
de bonobos
élitéens migrateurs.
Mais continuons,
et arrêtons-nous un moment à ce passage de votre excellent essai et entrons
donc directement dans le cœur du sujet, très cher et estimé Pr. Villach :
soit la savatologie élitéenne !
- La puissance de la métonymie : les tennis
de Mme Bettencourt
Ici, avant de
développer en matière savatologique,
arrêtons-nous quelques instants sur la scène que vous décrivez et envisageant
une analyse sous l’angle de la zoocio-codologie
bonobique, ou codo-zoociologie
bovidique (c’est selon !) et prenons comme référence la référence inconnetournable en la matière : le
majestueux essai de Pompino Gobino
intitulé « Codes zoociaux, hiérarchisme bonobique et lutte darwino-castique dans
la famille bonobus »
Il s’agit là,
évidemment comme vous l’avez certainement compris, très cher et éminent
confrère, d’une rareté zoociologique
que de voir en direct la confrontation entre un spécimen grabato-femelle de bonobus elitus et un spécimen maturo-femelle de bonobus vulgarus :
si nous avons lu avec attention Pompino
Gobino, nous aurons compris alors qu’ici la femelle bonobus vulgarus est en parade séducto-frimatoire, encore
empêtrée dans sa primitivité supra-beaufique :
et donc elle tente naïvement d’attirer l’attention en se parant de ses plus
beaux atours : la femelle bonobus elitus quant à elle, loin de
ses considérations primaires s’en contrefout bien évidemment : ses migrations
saisonnières vers des zones hypofiscales
l’ont depuis longtemps immunisée contre le syndrôme de parvenuite ostentatif bonobique
chronique.
Quant aux
positions respectives : et bien à nouveau, l’attitude décontractoire de la grabato-femelle bonobus elitus en
contraste avec la pause humilio-défératoire
de la maturo-femelle bonobus vulgarus nous révèle selon Pompino Gobino, à nouveau : les
codes zoociaux en vigueur dés lors
que des espèces différentes de la famille bonobus seront confrontées :
généralement face à l’attitude paisible
et arrogantoire du bonobus
elitus se voit opposée un ensemble de pauses humilio-défératoires chez bonobus vulgarus : marquant en
apparence sa position darwino-castique
autant qu’en profondeur les pulsions darwino-elitocides qui l’habitent.
Soit poursuivons,
et concluons donc par la savatologie
élitéenne et sur ce qu’elle peut nous apporter dans l’analyse de ce
documentaire animalier nous présentant l’interaction entre un bonobus
vulgarus mediaticus et un bonobus elitus altoburgus dans son
environnement naturel :
La puissance de la métonymie : les tennis de
Mme Bettencourt
Et bien, non très
cher Pr. Villach il ne s’agit pas là de tennis mais d’une paire de sneakkera asiatica : ce que vous
auriez su, si vous vous étiez attardé sur la lecture du Précis de Savatique
Elitéenne Podogonomique encore une fois de l’éminente savatologue et fashionologue Cassolète de la Bourgerie ( à complèter
avec la lecture de l’annexe Luxitude Ostentative où elle développe
aussi sur les poches uro-fécales Vuitton,
YSL ou D&B, ou bien encore comme présenté récemment ici-même sur AV sur
les ano-plugs en diamant, ainsi que l’oralosertion rituelle de cuillères en
argent chez les bonobus elitus puerilus).
Vous auriez alors
reconnu, alors sans l’ombre d’un doute aucun et vice-versa, une paire de sneakera asiatica luxuosa en peau de niakweï : le niakweï étant un proche cousin du bonobus larvus occidentalis :
le niakweï étant connu lui sous le
nom de bonobus termitius asiaticus.
Disposer de sneakera asiatica luxuosa en peau de niakweï étant selon la formule de
la fashionologue
Cassolète de la Bourgerie le
moyen le plus incontournable pour le bonobus elitus de se conformer à l’injonction
zoociale dans leur espèce du semper
hype et trash, sans compter bien entendu l’incomparable et soyeuse douceur
de la peau de niakweï : cette
texture silkienne étant obtenue par un
processus complexe allant de l’élevage de bonobus asiaticus génétiquement
sélectionnés dans ce but jusqu’au sacrifice rituel, typique chez les bonobos
bambouéens de rite mao-sojaïste.
Sacrifice se
faisant par empalement rituel sur un bambou phallomorphe et cela afin de préserver
autant l’intégrité que la fraîcheur de l’épiderme du jeune bonobus asiaticus sacrifié
pour cette occasion : soit les sacrifices en l’honneur de la divinité suprême
du Bambouïsme : le dieu Tôwföo
Söw-Jah. La récolte de l’épiderme, elle se faisant à l’aide d’un racloir
en céramique ming : selon les principes établis par l’école du grand maître bambouïste Saké Sepukku ; quant au post-traitement
de l’épiderme visant à assurer sa plasticité ergodermique : il se fait à base d’extraits des glandes
sudatives de bonobus asiaticus pré-pubère.
La finalité de l’usage
de sneakkera asiatica luxuosa chez
les bonobus
elitus étant ainsi d’affirmer leur supériorité dans l’ordre
darwino-castique en vigueur au sein des espèces de la famille bonobus : une formulation plus
usuelle serait : je vous marche sur
la gueule…
En espèrant, que
ces informations sauront vous aider dans vos recherches en leurrologie bovicognitive autant
que savatologie
contemporaine, veuillez agréer très cher Pr. Villach mes plus sincères
salutations.
Professeur Eckhart von Treelok,
phD en Métaphysique acrobatique du Tube et
Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en Théorie de la Turpitude
à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu)
Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitön-Süshi
(district de Makï-Saké), titulaire d’une chaire en physique des condoms
à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)