Désolé mais je suis passé par des lycées calmes et sans histoires comme la plupart des personnes de mon âge. La guerre des boutons, c’était un roman. La terreur, c’était quand les blousons noirs descendaient des citées. En général il y avait quelques Solex de siphonés et cela n’allait pas plus loin.
Ce que vous décrivez est surement juste mais n’en faites pas une généralité.
La violence n’est peut-être pas génétique comme certains le prétendent mais elle est par contre fortement ancrée dans un type de populations qu’on peut qualifier en terme moderne de « à risque ». Quand aujourd’hui on introduit de force dans les écoles des quantités d’enfants analphabètes venus d’Afrique noire uniquement parcequ’on ne veut pas les renvoyer chez eux, ni leurs parents avec, quand on tolère des squatts où un mari vit avec ses 8 femmes et 15 enfants dans une misère noire (sans jeu de mots) alors là je dis qu’on est totalement responsable du gamin qui se fera tuer dans 10 ou 15 ans par cette population à risque qu’on laisse sciemment se développer chez nous.
Les associations de bien-pensants, les collectifs en tout genre et les réactions attendries à la vue du dernier immigré mal nourri ne servent pas notre pays et nuisent à nos concitoyens. Ceux qui y participent avec tant d’énergie devraient penser au mal qu’ils font aux autres à terme.