L’école victime de sa démocratisation
Encore une triste nouvelle : un collégien est décédé dans un collège à Meaux. L’autopsie révèle que l’enfant de douze ans n’est pas mort roué de coups mais qu’il n’a pas supporté les coups infligés par une fille et un garçon de onze ans. Comment protéger les enfants victimes d’agressions au sein d’un établissement scolaire ? Les enseignants et l’ensemble du personnel sont-ils formés pour parer à ces actes de violences ? Pour protéger la communauté éducative et les enfants, les centres universitaires de formation des maîtres devraient créer un module tenant compte de cette évolution sociale.
Quels sont les moyens dont disposent les enfants, au sein de l’école, pour prévenir ces actes de violences ? A l’école, les enfants sont sous la responsabilité de leur professeur. L’école se doit d’e garantir, sous l’autorité du chef d’établissement, la sécurité de chaque enfant. Ici, nous parlons d’une responsabilité juridique.Sur le plan pédagogique, il est important de mettre l’accent sur les règles du savoir-vivre en société, comme il est enseigné à l’école primaire. Pourquoi l’éducation civique est-elle une compétence transversale à l’école primaire ? Le collège ne devrait-il pas poursuivre cet enseignement de façon transversale pour éviter ces actes d’incivilités et de violence ? Le règlement intérieur, les surveillants, le conseiller d’éducation, le professeur sont-ils suffisants pour faire ces rappels à l’ordre ? L’éducation civique au collège est-elle une matière vraiment prise au sérieux ? Les agressions récentes des professeurs nous avaient alertés. Souvent un professeur agressé fait part de sa situation au chef d’établissement, voire en informe l’inspecteur d’académie. En cas de danger, la loi lui permet de disposer d’un droit de retrait. Il est rare que les médias nous parlent des enfants victimes d’agression au collège. Les cas sont assez fréquents. Mais que vaut la parole d’un enfant ? Fallait-il attendre que l’un d’eux décède pour en parler ?
Souvent les enfants sont peu écoutés par les professeurs lorsqu’ils font l’objet de moquerie ou de passage à tabac par le petit caïd de la cour ou de la classe. Ils se taisent par peur des représailles. Ont-ils droit au retrait ? Non, leur absence compterait comme une absence non justifiée. Les pouvoirs publics et les autres acteurs sociaux doivent réfléchir sur les réponses à apporter face à aux nouvelles difficultés rencontrées à l’école d’aujourd’hui. La démocratisation de l’école a-t-elle rendu l’école plus égalitaire, au point de ne plus pouvoir garantir la sécurité de chaque enfant ?
79 réactions à cet article
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@ l’auteur : J’ai appris cette nouvelle à la radio avec consternation. On nous dit maintenant que cet enfant avait une malformation, et que c’est cette maladie qui a causé sa mort. Je manque d’informations sérieuses sur cette affaire, mais il me semble curieux que cet enfant « malade du coeur » ait pu cependant suivre des cours de gymnastique ? puisque c’est à l’issue de ce cours qu’il aurait été « battu » !
Puis j’ai appris que le maire de la ville de ce collège était (si c’est exact) un membre important du gouvernement UMP. Il serait donc plus politiquement correct de pouvoir démontrer que ce malheureux enfant était bien fragile et qu’une « petite bousculade » a précipité les choses ?
Je pense à la douleur de ses parent. A-t-on prévu quelqu’un auprès d’eux qui puisse essayer de les aider à affronter cette épreuve, la pire qu’un être humain puisse endurer... la mort d’un enfant innocent !
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« Petite bousculade » ? Plutôt bagarre, oui. Voire, petit tabassage en règle d’un faible par les forts, tel qu’il se pratique depuis toujours dans les cours d’école. Ce qui, d’ordinaire, ne tue personne.
Je ne vois pas où il peut y avoir du politically correct, ni une tentative d’essayer de minimiser l’affaire, si c’est la justice qui dit qu’une malformation est la cause du problème, et que les coups portés n’étaient pas aussi violents que ce qu’une presse avide de sensations fortes a pu rapporter initialement.
En outre, un maire quel qu’il soit aurait plutôt intérêt à faire grossir l’histoire, et réclamer de nouvelles lois répressives, vu que c’est pas lui qui est sur le grill mais l’E.N. Pourquoi essayer d’étouffer l’affaire, au risque que ça se voie et qu’on lui reproche ?
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@ l’auteur : « La démocratisation de l’école a-t-elle rendu l’école plus égalitaire, au point de ne plus pouvoir garantir la sécurité de chaque enfant ? »
J’ignore si c’était votre intention initiale, mais la phrase ci-dessus me paraît un peu racoleuse : on peut y voir un large sous-entendu que la « démocratisation » de l’école, c’est son ouverture aux pauvres, aux gens originaires des zones de non-droit, etc.. Alors même que c’est, depuis 1881, la vocation de l’école républicaine que d’accueillir absolument tout le monde.
Les enfants de pauvres à l’école, ça ne date pas d’hier. Les tabassages de gamins par des plus costauds, non plus ! Qui plus est, ça existe tout autant dans les écoles les plus « select ». Et l’insécurité physique n’est pas l’apanage des enfants : rappelons-nous que c’est justement l’école publique qui a aboli les sévices corporels, infligés aux élèves par les adultes ayant autorité !
La vraie démocratisation de l’école, ça consisterait plutôt à faire disparaître le système consistant à avoir dans les villes des « quartiers riches », des « quartiers classe moyenne » et des « quartiers pauvres ». Revenir à l’époque où les fils de bourgeois et de concierges fréquentaient ensemble les bancs du même lycée (Janson de Sailly, par ex.). Contrairement au système actuel, qui fait que celui qui vide les poubelles d’un parisien habite à l’autre bout de la banlieue, dans un ghetto pourri, et envoit ses enfants dans une école où ils auront de mauvaises fréquentations (foin de sécurité physique, c’est surtout la sécurité psychique qui manque dans ces établissements).
La carte scolaire ? Telle qu’elle est, elle favorise la « ghettoïsation ». Et si on la supprime, c’est pire : ceux qui ont les meilleurs pistons auront les bonnes places, et des gamins habitant en face d’une école devront aller à l’autre bout de la ville (je ne parle même pas des campagnes) par manque de place dans « leur » quartier. Ca existe déjà, mais là ce serait pire !!!
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1) Jean-Claude Irvoas (1949-2005). Le 27 octobre 2005, au premier jour des Émeutes de 2005 dans les banlieues françaises, l’homme de 46 ans est décédé d’un arrêt cardiaque après avoir été battu à mort par deux individus de 19 et 23 ans(...)
2) L’autopsie d’un élève de 12 ans décédé jeudi à Meaux (Seine-et-Marne) dans une bagarre montre que les coups ne sont pas la cause directe de sa mort, apprend-on de source policière. Le jeune Karl souffrait d’une malformation cardiaque, une hypertrophie du muscle cardiaque (...) En conséquence, le parquet ne devrait pas a priori ouvrir de poursuites
3) Voitures en feu dans un lycée : le gardien meurt d’une crise cardiaquemardi 22 novembre 2005 à 07:19 Le gardien du lycée de la Plaine-de-Neauphle à Trappes (Yvelines), est mort d’une crise cardiaque dans la nuit de dimanche à lundi en tentant d’éteindre 6 voitures en feu dans la cour de l’établissement, un décès qui a provoqué une vive émotion.
C’est fou ce que le gens ont le coeur fragile en banlieue parisienne
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Mais c’est très intéressant ce que vous dites ! Pensez vous que l’information est fausse ? Croyez vous qu’il y a désinformation pour occulter la violence réelle ? Je vais bien surveiller maintenant !
Bill
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Ma dernière phrase semble susciter un questionnement de votre part. L’égalité est un principe républicain, une notion belle et séduisante. Elle est proclamée comme un dogme universel. Malheureusement l’égalité ne résoud pas forcément l’injustice. Je suis pour la réussite de tout être humain sans discrimination. Je n’ai pas de solution à cette problématique humaine. Ma pensée ne doit pas être mal traduite. Je suis contre l’injustice.
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Ajouter y Malik Oussékine qui avait une faiblesse rénale puis celle là pour faire un tour complet 10 mai 1994 Touré Oussy, trente-deux ans, avait été interpellé, samedi à Paris dans le métro, station Chapelle, par les policiers du Service de protection et de sécurité du métropolitain (SPSM). Lesquels ne pouvaient savoir, à ce moment-là, si l’homme était ou non en situation irrégulière. L’aurait-on arrêté s’il n’avait pas été noir ? Il avait ensuite été conduit vers l’île de la Cité, dans les locaux de la 12e section des renseignements généraux, spécialisée dans « la recherche des auteurs d’infractions en matière d’emploi et de séjour irrégulier ». Celle-ci avait indiqué peu après que le Malien était décédé « à la suite d’un malaise cardiaque » et que le décès était donc « accidentel ». L’Inspection générale des services (IGS, la « police des polices ») avait été saisie d’une enquête par le préfet de police. Hier matin, la thèse accidentelle était présentée comme vraisemblable, de source policière. Le jeune Malien serait donc mort d’une crise cardiaque due au stress d’avoir simplement été interpellé.. Et vous verrez que l’imagination créatrice n’est pas la plus belle matière enseignée à Bordeaux
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Vous avez très bien réussi votre éducation égalitaire tous sont morts de crises cardiaques
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Malheureusement, on essaie souvent de nous faire croire que le fait de mélanger des pommes pourries avec des pommes saines va améliorer les pourries. C’est le contraire que se produit, les saines sont contaminées par les autres, les vieux de la campagne savent cela.
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Je n’ai rien contre l’instruction civique:quand un problème se pose j’en fais,ou j’y arrive par le biais de certains textes... Mais il me semble que quand il s’agit de problèmes graves:agressions violentes sur des « camarades » ou sur des profs,il me semble que nous ne sommes plus dans le champ de l’instruction civique,mais sur le terrain des moyens:combien de « pions » pour assurer la surveillance dans ce ou ces collèges ? Je me doute cette réflexion va encore faire hurler,mais quand je dis moyens,je pense à répartition et non nouveaux....
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@ Clairette
Les parents ont appris l’existence de cette malformation cardiaque lors de ce terrible évènement ! Je me mets moi aussi à la place des parents, c’est tragique ! Cependant il y a toujours des disputes dans les cours de récréation et des bagarres... Le danger actuel vient du fait que les élèves ne s’arrêtent pas, ils n’ont plus cette retenue qu’est la sécurité de l’autre enfant, jusqu’à s’en prendre aux professeurs avec la violence qu’on sait !
Bien à vous
Bill
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« M. Pech a démenti un quelconque contexte raciste à la bagarre, comme le laissaient entendre quelques rumeurs, sans pouvoir expliquer le motif exacte de la dispute. Les deux enfants qui devraient être mis en examen sont, l’un, d’origine antillaise et, l’autre, africaine, a précisé le procureur ».
Quant aux parents ils vont être contents d’apprendre ça ! ça va les soulager ! eux qui craignaient d’être pris pour des racistes parce que leur fils est mort tabassé !
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Ce qui me navre le plus, c’est la vitesse à laquelle on tire des enseignements sociologiques généraux d’un fait divers certes tragique en soi, mais sans grand intérêt. Un enfant meurt d’une malformation cardiaque, c’est triste, mais ce sont des choses qui arrivent. Des gamins chahutent dans la cour d’école, c’est pas bien mais ça fait partie d’une enfance normale.
De nos jours, « grâce » aux medias, on a le nez dans la vie des gens, et on sur-réagit à tout. Le résultat, c’est que la semaine prochaine, un ministe en mal de publicité va lancer une « grande loi citoyenne » et surtout liberticide pour se faire mousser, une loi inapplicable et démagogique qui ne résoudra rien, mais qui fera plaisir aux rombières.
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tout à fait d’accord mon cher asp explorer, votre sang-froid et votre distance critique vous honorent ; il n’y a pas de quoi fouetter un chat, après tout ce petit garçon était blanc donc on s’en tamponne allegrement. il n’y aura pas d’émeutes, pas de bus, voitures, écoles, handicapées cramées. pas de défilés des artistes sensibles et autres professionnels de la lutte contre les discriminations. tout cela est d’une banalité affligeante, et ne mérite même pas qu’on s’y attarde, d’ailleurs je m’arrete là en laissant un petit lien sur d’autres réactions (uniquement des rombières, et des affreux réacs) http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=11318
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Finalement ce pauvre gosse, personne ne lui a fait de mal , personne ne l’a frappé et finalement c’est de un peu de sa faute s’il est mort , non ? (il n’avait pas qu’a être émotif apres tout )
http://www.liberation.fr/actualite/societe/224883.FR.php
Admirons au passage l’excellent « l’enfant n’a pas été roué de coups même s’il a été frappé à plusieurs reprises » prononce par une source proche du dossier.Pas roue de coups mais frappe a plusieiurs reprises , c’est possible ca ?
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Je me suis fait exactement les mêmes réflexions.
Nous attendons toujours une réaction du bon Mouloud Aounit et de SOS racisme, mais rien ne semble venir... Le p’tit blanc tabassé - à mort - par des racailles black, cela ne rentre pas dans leur combat éthique...
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Précision : J’ai un fils black (adopté) qui est allé 4 ans dans un collège public fortement « mixé » ethniquement - pendant ces années j’ai été représentante, liste indépendante, de parents d’élèves (pouahhh, la FCPE !) j’ai renoncé à y mettre ma fille benjamine (blanche) : l’idée qu’elle se fasse traiter - au mieux - de « pute » ou « fille de pute » au moins 20 fois par jour dès ses 11 ans ne m’enthousiasmait pas vraiment... Mes principes égalitaristes n’allant pas jusqu’au sacrifice...
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Ouais ouais, on y croit...
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Ecole ou Prison ?
Je n’ai pas d’enfant, mais toutes les fois ou j’entend parler de l’ecole j’ai le sentiment d’entendre parler d’une prison. A l’école maintenant on peut mourrir, il y a des bagares, c’est dangereux, il y a des risques de drogue et d’armes à feux.
Le personnel scolaire n’est pas suffisant ou manque de compétence. On ne donne pas au enseignant les moyens de pouvoir effectuer leur travail correctement.
Sombre image de l’ecole en France. Est ce de la désinformation des médias ou une réalité ?
Je peux dire qu’aujourd’hui j’ai eu la chance d’avoir été dans une école humaine. Le directeur était l’autorité, aussi bien sur nous enfants que sur nos parents. Son objebtif comme il le disait c’etait de faire de nous des hommes et des femmes responsables et de nous apporter toutes les chances de reussir.
J’ai le sentiment que dans beaucoup d’etablissement il n’y a plus d’autorité. L’autorité elle même menottées par des lois. Une autorité que chaque enfant doit défier.
L’autorité doit elle etre forcément la loi ? L’autorité ne doit elle pas être un peu humaine. Un homme ou une femme ? avec ses qualités et ses défauts car l’etre humain ne peut etre parfait.
Quand j’entend des enseignants discuter ils sont en colère de cette situation et savent qu’ils doivent faire tres attention à ce qu’ils disent ou ce qu’ils font s’ils ne veulent pas avoir de problèmes avec leur l’administration ou les parents.
Les enfants ne sont que des enfants. Je peux comprendre que pour certain la vie n’est pas des plus roses dans leur foyer. Ils ne trouvent pas l’appuie pour devenir des adultes responsables. Des parents pour leur dire que la vie n’est peut etre pas facile mais qu’il faut savoir respecter l’autre pour se faire respecter. Qu’il exite des règles non pas pour les déranger mais pour que chacun puisse vivre en paix.
Si a 8 10 15 ans personne leur apprend ce qu’est l’autorité et le respect, j’ai peur qu’eux même ne peuvent le transmettre à leurs propres enfants.
Les enfants sont fragiles et « l’autorité » est aussi présente pour les protégers. Si l’autorité n’existe plus chaque enfants se sentira en danger et se protégera comme il peut.
Je trouve dangereux que des enfants ne peuvent pas se rendre compte des conséquences à rouer de coups leur camarade. Je dis bien rouer de coup et pas une main qui part ou une bousculade. Je ne peux que me demander qu’elles sont les repères de ces enfants ? Quelles sont leurs limites ?
Un enfant est mort à l’ecole suite à un acte de violence même si ce dernier était malade. Des enfants ont tué leur camarade même si c’est dernier n’en avait pas l’intention.
A qui la faute ? Y a t’il réellement un responsable ou sommes nous tous responsable ?
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Ici il s’agit d’un collégien mais la violence est visible à l’école dès le primaire. J’ai effectué un stage en élémentaire où un jeune garçon de CE1 visiblement instable à cause de problèmes personnels qu’il a eu dans sa petite enfance, est arrivé une fois à l’école avec un couteau et il avait déjà terrorisé toute sa classe. Les professeurs étant dépassés par les excès de colère et le manque de volonté pour travailler de cet enfant, ont d’abord décidé de l’isoler dans le fond de la classe malheureusement du fond de la classe il arrivait à perturber le cours et à influencer ses camarades. Ensuite le garçon a été isolé dans une autre classe chez un professeur « homme », mais ce n’était guère mieux et puis même quand il ne gênait pas le cours un problème se posait c’était qu’avec de telles méthodes l’enfant n’était pas socialisé en venant à l’école puisque toujours mis à l’écart. Et la socialisation est un des objectifs de l’école.
Je ne sais pas comment se passe la formation des professeurs de collèges et lycées. La plupart du temps la formation des professeurs des écoles se passe à l’IUFM (Institut Universitaire de Formation des Maîtres), elle dure 2 ans, la première année est sanctionnée par le concours, c’est très théorique, on revoit les bases en Maths, Français, Histoire/Géo, Biologie, E.P.S (pas de pratique juste de la théorie), on voit aussi toutes les aquestions de didactique et on a un cours de formation générale où l’on étudie l’histoire de l’école, ses finalités, la construction des connaissances chez l’enfant (chose que l’on voit dans chacune des autres matières également), et les grandes questions qui lient école et société comme la laïcité, l’échec scolaire, la famille, la violence, etc... En deuxième année enplus des tages qui sont plus longs qu’e,n première année, il y ades cours de psychologie de l’enfant.
Pour ce qui est de la violence, on nous dit qu’il est très important dès le départ de montrer que la violence sous toutes ses formes est interdite à l’école, ça passe par exemple par une lecture claire et explicative du règlement intérieur par la création éventuellement, avec les élèves d’un règlement de la classe que les élèves s’engageraient à respecter, affiché dans la classe pour servir de rappel à ceux qui seraient tentés d’enfreindre les règles. La plupart du temps quand les élèves prennent part à la création de règles et quand ils s’engagent à les respecter il y a moins de problèmes mais bien sûr ça ne suffit pas, parce qu’il est parfois difficile pour un enfant de comprendre l’utilité d’une règle et le bien fondé de son application et les enfants ont souvent besoin qu’on leur répète les choses ou qu’elles soient mises en pratique souvent pour être respectées. Le maître qui représente l’autorité et qui en général est respecté ne peut pas lui non plus revenir sur ce qu’il a dit en ne l’appliquant pas. Les enfants perçoivent facilement quand il y a une faille dans le fonctionnement du professeur et réagissent de façon incontrôlée voire violente quand leurs repères, ce dont ils avaient l’habitude sont troublés, c’est leur façon de faire réagir le professeur, mais ils réagissent aussi quand ils ont l’impression que le professeur ne leur montre finalement que cette autorité, quand les échanges sont biaisés par cette autorité parce que les élèves n’osent pas faire autre chose que répondre aux questions du professeur et se refusent parfois à prendre la parole ou a poser eux-même des questions parce que le professeur les impressionne trop donc souvent pour ces enfants le dialogue se passe surtout avec les uatres élèves. L’important c’est de ne pas se contenter d’imposer il faut expliquer aussi sinon c’est considéré comme une contrainte parfois injuste.
Mais face à la violence les professeurs n’ont pas tous les mêmes réactions, certains vont répondre par la violence verbale ou physique quand ils sont eux-même agressés, d’autres ne vont pas réagir et faire comme si de rien n’était et il y a certains professeurs qui boycottent le cours, ça ne marche pas toujours surtout quand c’est répété et les élèves prennent du retard.
De toute façon la violence étant en chacun de nous on ne peut pas continuellement la réprimer un jour ou l’autre ça explose. Pour éviter que ce trop plein de violence explose pendant le cours on privilégie le sport qui peut être considéré comme un défouloir mais qui possède lui aussi des règles et ce qui est bien avec le sport c’est que tout en libérant cette énergie qui pouvait se transformer en violence on maîtrise à la fois ses tendances agressives grâce au respect des règles.
Enfin quand il y a un problème en classe plutôt que de laisser le problème grandir parce qu’il ne concerne pas le cours lui-même il vaut mieux en parler avec toute la classe et le professeur, le problème c’est que ça prend du temps et l’emploi du temps est déjà très chargé et les professeurs n’ont pas toujours le temps de s’arrêter sur tel ou tel problème et d’apaiser les tensions. Il faut dire aussi que le métier de professeur ne fait plus trop rêver, parce qu’en plus d’être enseignant le professeur est aussi éducateur parfois assistant social, flic, etc... Et ça fait parfois beaucoup de casquettes pour une seule personne.
Malheureusement il y a un autre problème concernat les profs c’est que l’on envoie les plus jeunes, les plus inexpérimentés dans des écoles et des classes difficiles avec un environnement difficile pour la petite jeunette qui vient de sa cambrousse provinciale le premier contact avec les « zyvas » de région parisienne n’est pas toujours évident.
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Le procureur de la République a indiqué clairement que l’enfant avait un problème cardiaque, il a succombé à l’émotion. IL N’Y A PAS EU TABASSAGE. Il y a eu bousculade comme il y en a dans toutes les cours de récréation de temps à autre. C’est l’apprentissage de la vie et du rapport aux autres. Arrêtez de vouloir nous transformer en individu servile, sans réaction, sans émotion et lobotomisés déjà au tout début de la vie à l’école. Qui ne s’est jamais battu ?
Ensuite les médias ont braqué leurs caméras sur 1000 élèves qui manifestent leur douleur alors que la plupart n’ont pas été témoins occulaires. Et c’est reparti sur le thème de l’insécurité, à l’Ecole et ailleurs.
Yen a marre de cette manipulation et cet article succombe à cette même névrose constamment répétée.
Article de merde.
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C’est clair , il y a de çà , j’aime bien l’expression « sur - réagir » . Le fait divers est arrivé au faîte de tous les JT , et de fait , les médias entretiennent cet état de flottement permanent autour de la violence , l’insécurité etc ... Mission médiatique ? Educative ? Tu parles !
Il me semble bien qu’en faisant progressivement baigner les gens dans ce genre de climat , nous « créons » naturellement ce que nous redoutons . Il semble d’ailleurs que ce soit une loi ... humaine que de finir par créer l’objet de ses propres peurs . Alors , pourquoi insiste t on ?
Pensez vous , maintenant , c’est choisir l’école de son enfant ( j’entends çà partout ) qui devient peu ) peu l’enjeu . Cela passe évidemment par le déni de l’école publique , la récupération par le privé , bref , ces campagnes médiatiques ne sont pas sans réactions de la part du public.
Alors ...
Proteger les enfants des agressions à l’école ? Quel idée infantile ! Mais quel collégien ne s’est pas pris une danse , un jour , par une cruelle petite coalition de camarades ayant décidé que ce jour là ... On a tous été au moins une fois de chaque coté. Agresseur et aussi agressé.
Mais enfin , c’est un point de vue masculin certes , mais cette violence là fait partie de la vie. Un petit qui ne teste pas ses limites lorsqu’il est petit , vivra peut etre avec une vision tout a fait fantasmée de la dite violence. Et cette vision là , me semble autrement plus dangeureuse lorsqu’on est sorti du monde protegé de l’enfance.
Plus basiquement, bêtement, il faut s’etre pris une tourte une fois, pour ne pas aller en redemander , l’éducation , les schémas , valeurs et symboles ne remplaceront jamais cela . Splaf ! une tourte ! t’en veux une autre ? Euuuh , non . Et la mémoire ne l’oubliera jamais. Dur ? Archaïque ? Oui !!! Parce que là où le bât blesse , c’est que l’on se dit que les petits , si ils s’humilient au cours de bagarres , ne se font jamais mal au point de se blesser gravement , et alors , c’est sur , jamais ne se ... tuent . Celà n’est même pas normal au sens biologique profond , dans toute espece animale . Les affrontements des petits leurs permettent de faire l’apprentissage de leur force , de contrôler leur violence , afin qu’ils s’integrent en societé avec des pulsions éduquées , pulsions qui les accompagneront toute leur vie. C’est pour celà que le cas cité est un accident déplorable. Un accident de la vie tout simplement.
Mais les adultes d’aujourd’hui , rêvent toujours de vivre dans la non violence. Génération infantilisée. Cette non violence n’existe pas !!! Que faudra t il pour que l’on grandisse un peu avec celà . Le petit , en particulier le petit garçon , possède une physiologie et la développe. Pourquoi , pourquoi la nier ? Pourquoi la redouter ? Les parents , au JT , dans le film du soir , en bouffent re rebouffent de la violence. Voilà , le résultat d’une éducation dans laquelle la violence est refusée . Elle finit par etre fantasmée , elle devient une nourriture , par projection du héros du film d’action , du jeu vidéo.
Vous voulez proteger vos enfants de la violence ? Simple , envoyez le faire un sport de combat avec un professionnel . Le professeur apprendra à l’enfant à canaliser sa pulsion , l’équilibre en découlant vous impressionnera . Et autre chose , adultes parents , vous pouvez , si vous le désirez , vivre sans télévision et ne pas subir cette campagne de violence fantasmée . Outre atlantique , se trouve l’exemple d’une tres grande nation dont le peuple a peu à peu succombé aux conséquence d’un désir absolu de non violence. La névrose a remplacé le contrôle de soi. Les gens n’ont , pour beaucoup , pas l’air adultes , c’est normal. Ils n’ont pas su vivre en fantasmant leur violence. C’e n’est en fait pas possible , seul l’apprentissage du contrôle de ses pulsions peut faire de nos enfants des gens équilibrés. Mais les idéaliser dans un monde non violent , revient à les exposer à de grands dangers , tant sur le plan des situations de violence qu’ils pourront rencontrer à l’age adulte , mais pire , les exposer à de dangeureuses appréciations vis à vis d’autres peuples , d’autres cultures qui n’ont pas voulu suivre cette voie infantile. La violence fait partie de nous. Sa négation par des codes ne peut qu’entrainer de profonds troubles psychologique . Son apprentissage , au contraire , peut donner toutes les raisons à un enfant de la détester.
Adultes , pensez y ou restez la tête au fond du trou , avec vos peurs .
@ l’auteur . Il y a cependant une chose qui nous différencie dans ce monde , les hommes et les femmes ont par nature , des physiologies tres différentes . Le point de vue d’une femme sur ce sujet précisement , est compréhensible si l’on sait que la violence féminine n’est que tres rarement exprimée de maniere physique. Mais elle n’en est pas moins existante . Le tout étant de comprendre que la divergence de point de vue homme / femme sur ce sujet doit pouvoir trouver une sortie si l’homme comme la femme sont renseignés sur leur propre physiologie , leur propre expression biologique de la violence. Voilà encore une raison qui m’amène à dire qu’il est indispensable , tout sexe confondus , de nous connaitre , sur ce plan de la vie , hommes , comme femmes , pères comme mères , afin de donner le plus de chances à un gosse de savoir se frayer un chemin dans la vie , sans redouter secretement le moment où il va falloir se servir de sa force , psychologique , force de seduction , ou force physique , pour se dépatouiller d’un situation violente , qui comme l’accident à la quasi totalité des conducteurs de véhicule , est un jour au rendez vous , malgré les codes , l’éducation ,les valeurs , et un farouche « désir » que « celà ne se produise pas ».
GRL
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GRL, je suis d’accord à 99% avec ce que vous dites.
Je suis assez partisant d’une théorie qui affirme qu’une bonne partie de ce que nous sommes, de la façon dont nous réagissons, est profondément enfouie dans nos gènes et remonte aux temps de cro-magnon. La différence de comportement, d’agressivité, etc.. entre garçons et filles retrouvent très vite une logique lorsqu’on examine les sociétés primitives.
Maintenant, élargissons ceci à l’E.N. passée et actuelle, et on peut voir ceci : Au début l’éducation était pilotée à haut niveau par des hommes, la classe était faite par des hommes, et pour des garçons. Ensuite l’éducation des filles puis la mixité sont arrivées, chez les élèves comme chez les enseignants. Jusqu’ici, tout va bien : je dirais même qu’en tant qu’élève je n’ai pas eu à m’en plaindre.
Là où le bât commence à blesser, c’est lorsque la majorité des enseignants de primaire sont des femmes, encadrées par des femmes, se reposant sur de grands principes éducatifs édifiés par des pédagogues femmes, et tranposant sur les élèves le désir maternel de surprotection.
Je n’étais pas du genre bagarreur, mais je puis affirmer qu’exiger d’un garçon de 10-11 ans d’être gentil, mignon tout plein, de respecter ses petits camarades et de règler ses problèmes par le dialogue est une con..rie : à cet âge, tout est compétition, depuis le jeu de billes jusqu’à la détention du pouvoir sur le groupe, et la violence physique ou verbale est banale. Les enseignants comme les parents doivent se contenter de servir de garde-fou, pour éviter des dérives dangereuses et des abus.
La bagarre physique et les coups sont une exériorisation très propre aux garçons, qui a l’avantage de résoudre les problèmes très vite. Les filles, elles, intériorisent beaucoup plus, et vont se battre entre elles différemment : l’hypocrisie et les ragots regnent en maîtres, et les mots font des dégâts bien plus profonds qu’un coup de poing.
De même, il est naturel pour un garçon de se mettre en situation de danger pour tester ses limites : l’en empêcher risque de l’entraîner, l’adolescence venue, vers des comportements autrement plus dangereux.
Vouloir essayer de changer le comportement du sexe opposé, qu’on soit un homme ou une femme, est une des plus grandes sources d’incompréhension dans les couples actuels. Alors, mesdames, laissez les garçons faire du judo et les filles de la danse. Laissez les garçons grimper aux arbres, se balader seuls en forêt, faire du vélo etc.. Oui, il y a des risques : mais c’est à ce prix que l’homme l’adulte se construit.
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Je n’avais pas observé en effet que l’enseignement était de nos jours , donné par de plus en plus de femmes . C’est sur que la composante autoritaire sur les garçons est moins forte. Cà a pour sur son importance vu que la violence physique n’est qu’exceptionnellement l’expression des filles. C’est sur .
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« Là où le bât commence à blesser, c’est lorsque la majorité des enseignants de primaire sont des femmes, encadrées par des femmes, se reposant sur de grands principes éducatifs édifiés par des pédagogues femmes, et tranposant sur les élèves le désir maternel de surprotection. »
Oui mais à qui la faute ? Les femmes comme les hommes sont libres de se présenter au concours de professeur des écoles avec certaines conditions : avoir une licence dans une des matières enseignées en primaire ou être sportif de haut niveau (là j’ai pas bien compris mais bon) ou avoir trois gosses et au minimum je crois le BAC et moins on a d’année de formation et plus il faut avoir d’année d’expérience professionnelle pour pouvoir s’inscrire au concours, et bien sûr avoir la nationalité française.
Le fait est que la plupart des personnes qui se présentent au concours de professeurs des écoles sont des femmes. Peut-être parce que les femmes ont un contact plus facile avec les enfants du fait de leur instinct maternel allez savoir et peut-être aussi parce que le concours prépare les professeurs qui vont enseigner pour des enfants de 2 ans à 10 voire 12 ans, il n’y a pas de concours spécifique pour les professeurs de maternelle, un professeur des écoles peut se retrouver avec une classe de petite section de maternelle comme avce une classe de CM2. Cet écart entre l’effectif masculin et l’effectif féminin se vérifie dans d’autres professions mais si vous regardez bien déjà à la crèche la plupart des employés sont de femmes.
« je puis affirmer qu’exiger d’un garçon de 10-11 ans d’être gentil, mignon tout plein, de respecter ses petits camarades et de règler ses problèmes par le dialogue est une con..rie : à cet âge, tout est compétition, depuis le jeu de billes jusqu’à la détention du pouvoir sur le groupe, et la violence physique ou verbale est banale. Les enseignants comme les parents doivent se contenter de servir de garde-fou, pour éviter des dérives dangereuses et des abus. »
On ne demande pas aux petits garçons d’être mignons et de régler tous leurs problèmes par le dialogue quoique je ne vois pas ce qu’on peut reprocher au dialogue alors qu’aujourd’hui il est évident que beaucoup de personnes ont un problème réel avec la communication et le contact avec les autres. Dialoguer ce n’est pas philosopher c’est d’abord écouter, comprendre, analyser et apporter des réponses et il n’y a aucun mal à privilégier cela dès la petite enfance.
« La bagarre physique et les coups sont une exériorisation très propre aux garçons, qui a l’avantage de résoudre les problèmes très vite. Les filles, elles, intériorisent beaucoup plus, et vont se battre entre elles différemment : l’hypocrisie et les ragots regnent en maîtres, et les mots font des dégâts bien plus profonds qu’un coup de poing. »
Oh n’en soyez pas trop sûr, il y a de plus en plus de filles qui en viennent aux mains, je me suis moi-même déjà battue une ou deux fois avec un garçon à l’école même si c’est vrai que chez nous ça passe plus par le dire que par le faire.
« De même, il est naturel pour un garçon de se mettre en situation de danger pour tester ses limites : l’en empêcher risque de l’entraîner, l’adolescence venue, vers des comportements autrement plus dangereux. »
C’est vrai qu’il n’est jamais bon de garder trop de choses en soi ça ne ferait qu’accroître la frustration mais il est quand même bon à un moment donné de fixer des règles de les faire respecter sinon c’est l’anarchie, il faut essayer de trouver un juste milieu entre limites et expression libre.
« Vouloir essayer de changer le comportement du sexe opposé, qu’on soit un homme ou une femme, est une des plus grandes sources d’incompréhension dans les couples actuels. Alors, mesdames, laissez les garçons faire du judo et les filles de la danse. Laissez les garçons grimper aux arbres, se balader seuls en forêt, faire du vélo etc.. Oui, il y a des risques : mais c’est à ce prix que l’homme l’adulte se construit »
Je ne crois pas qu’il y ait pour les enfants des activités pour les filles et des activités pour les garçons, une fille peut très bien pratiquer les sports de combat et un garçon faire de la danse. Quand un garçon joue à la poupée ça ne veut pas forcément dire qu’il devient une fille ou qu’il se comporte comme une fille cela fait partie de la découverte de ses goûts, et de la connaissance de soi. De toute façon il y a une part de féminité et de masculinité plus ou moins grande en chacun de nous rien ne sert de jouer les durs pour montrer qu’on est un homme ou de faire cosette pour montrer qu’on est une femme. Si on fonctionnait plus au feeling et si on arrêtait de se conditionner on aurait beaucoup moins de mal à accepter et à exprimer la part de féminité et de masculinité qui est en nous.
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« Oui mais à qui la faute ? Les femmes comme les hommes sont libres de se présenter au concours de professeur des écoles../.. »
Of course, il n’y a pas de « faute ». Sauf si on regrette que les femmes aient accès plus largement aux études supérieures (donc aux études d’instit), ce qui n’est heureusement pas mon cas
« Le fait est que la plupart des personnes qui se présentent au concours de professeurs des écoles sont des femmes. Peut-être parce que les femmes ont un contact plus facile avec les enfants du fait de leur instinct maternel allez savoir et »
Peut-être parce que cette profession permet d’avoir plus de congés, de pouvoir récupérer ses enfants à la sortie de l’école sans devoir courrir, et de leur assurer un meilleur avenir ? (les enfants d’instits et de profs nettement plus de chances de faire et réussir des études supérieures que les autres).
« peut-être aussi parce que le concours prépare les professeurs qui vont enseigner pour des enfants de 2 ans à 10 voire 12 ans, il n’y a pas de concours spécifique pour les professeurs de maternelle », un professeur des écoles peut se retrouver avec une classe de petite section de maternelle comme avce une classe de CM2."
Là, je suis bien d’accord, il y a un truc qui cloche à propos des affectations en maternelle.
Un autre phénomène que je ne m’explique pas, c’est que le métier d’instit est bien mieux payé qu’autrefois : autant il était logique que des femmes mariées fassent ce métier mal payé en « salaire complémentaire » d’un mari mieux payé, autant il est surprenant de voir les hommes d’aujourd’hui fuir ces filières, alors même qu’elles sont enfin mieux rémunérées !
« Cet écart entre l’effectif masculin et l’effectif féminin se vérifie dans d’autres professions mais si vous regardez bien déjà à la crèche la plupart des employés sont de femmes. »
Ce n’est malheureusement pas la psychose sur la pédophilie qui va arranger les choses...
« Je ne vois pas ce qu’on peut reprocher au dialogue »
Rien, s’il débouche sur un mieux-être.
« Dialoguer ce n’est pas philosopher c’est d’abord écouter, comprendre, analyser et apporter des réponses et il n’y a aucun mal à privilégier cela dès la petite enfance. »
Aucun mal, non. Mais attention à ne pas essayer de transformer un homme en ce qu’il n’est pas, au risque de créer des névroses..
« Oh n’en soyez pas trop sûr, il y a de plus en plus de filles qui en viennent aux mains, je me suis moi-même déjà battue une ou deux fois avec un garçon à l’école même si c’est vrai que chez nous ça passe plus par le dire que par le faire. »
Sûr que ça arrive, j’ai une cousine qui était coutumière du fait. Elle a arrêté à l’adolescence : elle faisait fuir les (nombreux) prétendants
J’ai le souvenir de bagarres de filles très spectaculaires, avec bien souvent des attaques en direction de la chevelure. Allez savoir ce que dirait ce cher Sigmund du symbole
« C’est vrai qu’il n’est jamais bon de garder trop de choses en soi ça ne ferait qu’accroître la frustration mais il est quand même bon à un moment donné de fixer des règles de les faire respecter sinon c’est l’anarchie, il faut essayer de trouver un juste milieu entre limites et expression libre. »
100% d’accord.
« Je ne crois pas qu’il y ait pour les enfants des activités pour les filles et des activités pour les garçons, une fille peut très bien pratiquer les sports de combat et un garçon faire de la danse. »
Bien sûr. Mon « laissez-les faire » voulait dire : surtout, n’allez pas contre leurs inclinaisons, quand bien même elles seraient archi-conventionnelles. A fortiori donc, laissez-les faire aussi s’ils ne rentrent pas dans les canons habituels.
« De toute façon il y a une part de féminité et de masculinité plus ou moins grande en chacun de nous »
Tout à fait. L’accepter contribue d’ailleurs à réduire les comportements sexuels déviants à l’âge adulte..
« rien ne sert de jouer les durs pour montrer qu’on est un homme »
Pas d’accord : c’est au contraire très important pour un garçon. Le rite de passage à l’âge adulte est d’ailleurs une épreuve très classique dans les sociétés primitives.
« Si on fonctionnait plus au feeling et si on arrêtait de se conditionner »
Ca me paraît antinomique : si on fait tout au feeling, alors on fait ce que fait le groupe : instinct tribal. Le garçon qui a envie de jouer à la poupée ne pourra le faire qu’avec l’acceptation active de ses camarades : dans le cas contraire, il réfreinera ses instincts, de peur d’être écarté du groupe. (NB : après tout, les G.I. Trucmuche c’est bien des poupées, non ?
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« Of course, il n’y a pas de »faute« . Sauf si on regrette que les femmes aient accès plus largement aux études supérieures (donc aux études d’instit), ce qui n’est heureusement pas mon cas »
Je ne comprend pas bien ce que vous voulez dire par accès plus large aux études supérieures.
« Peut-être parce que cette profession permet d’avoir plus de congés, de pouvoir récupérer ses enfants à la sortie de l’école sans devoir courrir, et de leur assurer un meilleur avenir ? (les enfants d’instits et de profs nettement plus de chances de faire et réussir des études supérieures que les autres). »
Oui sûrement. Mais en même temps le métier de prof ne s’arrête pas une fois qu’on a franchi le portail de l’ecole. La préparation des cours, la correction des devoirs + le travail à la maison (repas, ménage, et s’occuper des enfants quand il y en a) ça peut aussi décourager quelques femmes et aussi les hommes.
« Aucun mal, non. Mais attention à ne pas essayer de transformer un homme en ce qu’il n’est pas, au risque de créer des névroses.. »
Je suis d’accord avec vous.
« Sûr que ça arrive, j’ai une cousine qui était coutumière du fait. Elle a arrêté à l’adolescence : elle faisait fuir les (nombreux) prétendants »
Oui c’est sûr les filles baraqués ou bagareuses ça ne séduit pas trop les garçons. Pendant l’enfance ça passe encore mais c’est sûr qu’à l’adolescence ça pose plus de problème quand on cherche à plaire.
« J’ai le souvenir de bagarres de filles très spectaculaires, avec bien souvent des attaques en direction de la chevelure. Allez savoir ce que dirait ce cher Sigmund du symbole »
Je ne sais pas trop je ne suis pas très axée sur la psychanalyse.
« Pas d’accord : c’est au contraire très important pour un garçon. Le rite de passage à l’âge adulte est d’ailleurs une épreuve très classique dans les sociétés primitives. »
Oui mais ça ne doit pas empêcher le garçon d’explorer toutes les facettes de sa personnalité sous prétexte qu’il deviendra homme plus tard.
« Ca me paraît antinomique : si on fait tout au feeling, alors on fait ce que fait le groupe : instinct tribal. Le garçon qui a envie de jouer à la poupée ne pourra le faire qu’avec l’acceptation active de ses camarades : dans le cas contraire, il réfreinera ses instincts, de peur d’être écarté du groupe. (NB : après tout, les G.I. Trucmuche c’est bien des poupées, non ? »
Bien sûr c’est impossible de tout faire au feeling on reste très imprégné par ce que nous ont enseigné les premiers modèles masculin et féminin que l’on a eu : nos parents. on fait de toute façon, de façon presque inconsciente une différence entre la fille et le garçon dans l’éducation des enfants. Un garçon qui pleure constamment est pour les autres enfants soit un bébé soit une fille et une fille qui s’immisce dans les jeux dits « de garçons » sont recalées de façon parfois féroce par les garçons. J’ai le souvenir de mes continuelles bagarres avec mon frère qui détestait que je m’incruste quand il jouait au foot avec ses copains il me disait que je lui faisait honte moi à l’époque ça me faisait marrer surtout quand j’arrivais à marquer un but ça le mettait dans une rage telle qu’il allait se plaindre à mes parents, alors j’allais jouer quelques temps avec mes copines à des jeux de filles et je revenais quand il était calmé pour l’embêter encore.
Oui les « G.I Joe » et autres « Action Man » sont des poupées. Mais il est très rare qu’un garçon joue avec le « Ken » de sa soeur.
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La violence à l’école est la conséquence directe de l’immigration incontrôlée et massive. Il ne sert à rien de se regarder le nombril en se disant que nous sommes tous égaux et qu’on est tous coupables. Ces choses là n’arrivaient pas en France il y a seulement 20 ans. La seule culpabilité que nous avons est de refuser de prendre le taureau par les cornes et les mesures qui s’imposent. Les viols collectifs, les punitions mortelles, les profs agressés, les 30.000 autos brûlées chaque années, les bagarres à n’en plus finir, les incendies volontaires d’édifices publics sont à 95% le fait d’immigrés ou de leurs descendants.
Est-ce que nos enfants méritent qu’on les enfonce dans cet univers ? Je ne le pense pas et notre principale culpabilité et de laisser faire de telles horreurs. Nous savons par exemple que Villepin les finance (100 MEuros aux associations arabes en récompense des 10.000 autos brûlées de novembre 2005) mais un grand nombre de français continue à lui apporter leur soutien.
Libérons notre pays, nous n’en avons qu’un seul et personne ne nous acceuillera ailleurs.
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Vous êtes de ceux qui pensent que les étrangers portent un gêne violence en eux à ce que je vois.
La violence n’est pas le fait d’une communauté quand est-ce que vous comprendrez cela, elle existe en chacun de nous et l’environnement de vie dans lequel nous vivons influence en grande partie la façon dont nous gérons cette violence mais aussi notre expérience, quelqu’un qui a toujours vécu dans un climat violent que se soit dans le cadre familial ou dans la rue en général reproduit cette violance avec les autres et ce queles que soient ses origines ou sa couleur de peau.
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Effectivement. Et ce n’est pas en stigmatisant les étrangers qu’il arrivera à mieux les intégrer. Au contraire...
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encore une recrue du parti raciste et antisémite payée pour polluer ce site.Cela devient assez énervant, mais malheureusement internet de part son anonymat est propice à ce genre de propos
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encore une recrue du parti raciste et antisémite payée pour polluer ce site.Cela devient assez énervant, mais malheureusement internet de part son anonymat est propice à ce genre de propos
Encore un BOBO gavé dont les enfants sont bien à l’abri dans un établissement privé ou public loin des ZEP.
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parce que lepen il est pas bndé de fric et ses filles il les a mit dans le publique ???
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@ Saint-Sébastien
Euh... Ben, oui il a mis ces filles à l’école publique, un jour Marine Le Pen en parlait en disant que ça n’a pas vraiment été si facile pour elle... Mais son père considérait que ses enfants devaient passer par l’école publique comme bon apprentissage de la vie.
A chacun d’en penser ce qu’il veut...
Bill
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Tous les grands caciques UMPS ont leurs enfants dans des boites privées et friquées. Comme on aimerai faire comme eux.
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Mais bien sur que si ces choses là arrivaient en France il y a vingt ans . Et pour cause , j’y étais dans ces colleges , avec certes une population bien moins mélangée , mais des bagarres à foison .
« Liberez notre pays et autres conneries » : Ok , voilà un bon exemple de violence non maitrisée . Il reste les bancs du PSG si jamais ... pfff , d’autres le disent c’est sur , mais c’est un formidable echec social que vous nous montrez là. La peur vous empeche de réflechir . Luttez plutot contre elle !
L’histoire de l’immigration , on ne va pas la refaire , mais l’histoire de nos peuples , de chaque coté de la méditerranée , nous montrent et nous remontre que nous sommes à jamais liés , historiquement , politiquement , et aujourd’hui socialement et humainement. Sans les gens dont vous parlez , c’est dans la langue teutonique que vous auriez rédigé votre post . Et l’immeuble ou la maison que vous habitez a statistiquement été réalisée par cette immigration là. Mais à çà vous n’y pensez jamais , jamais !
A vous comme à l’auteur de l’article , je le dis . Restez la tete dans votre trou à flipper ou levez les yeux sur votre passé , et il vous donnera les clés pour comprendre çà aujourd’hui , la violence mise en lumiere dans votre présent.
et pour toi l’internaute :
Mais oui , les collège , on s’y battait , on se donnait rendez vous , la bande de « machin » contre celle de « truc » , y avait des leaders , y avait des souffre douleurs , il y avait même des couteaux taxés aux grand frere ou récupérés çà et là , des batons , des poings américains et autres. Mais les ados qu’on était , testaient leurs limites avec toutes sortes de manoeuvres d’intimidation et pas des actes violents , d’autres de vandalisme , on se pourrisait les mobs des « ennemis », on foutait du sucre dans les reservoirs , on graphait des insultes sur les objets personnels , etc etc ... tout çà , sans que la télé en fasse sujet , sans que les parents le sachent . Alors oui , c’est vrai , un jour , tu reviens de l’école avec deux dents pétées , et tes parents veulent savoir ... bon , une version edulcorée , accompagnée d’un paire de claques ou d’une convocation chez le proviseur ... allez , parfois une exclusion , histoire de donner à la famille le temps de réflechir sur le comportement du gosse et le sien par la même occasion , et toi , au lieu de se dire que merde , j’ai une dent petée ... à vie , t’es fier parceque t’es un jeune con qui s’est battu , parce que la violence à ecrit quelque chose sur toi , parce que sans le savoir , tu as appris , et plus tard , tu racontes çà sans fierté mon gars , pas de quoi désigner le « grand ennemi » comme tu le fais. Au contraire , il y a vingt ans , c’était beaucoup moins codé, moins politisé qu’aujourd’hui , plus cru , plus sauvage.
Et c’est précisément parce que toi tu vois ces codes sociaux , politiques , que tu réagis . Parce que comme nous sommes divisés sur le plan ethnique , tu ne peux que condamner la violence ... d’en face , ce que tu fais ! Mais la tienne , qu’en fais tu ? Une névrose ? Ton post est violent , plus violent qu’un bagarre d’ados ( et va pas me dire qu’au moins toi , tu tues personne , des bagarres d’ados sans mort , il y en a dans les colleges , tous les jours ! ) , mais t’en rends tu seulement compte ?
Enfin , je n’ai rien contre toi en particulier , mais voilà , je te réponds , à toi , mais aussi pour tous . Ces jugements excessifs sont extremement violents lorsqu’ils sont en plus donnés en pâture au lecteurs. Tu te sers comme d’autres le font , de ces arguments pour te donner de la force , c’est tout . Ayez du discernement , si vous le pouvez , parce que c’est l’illusion qui nous pousse à croire que la violence ne doit pas exister alors qu’elle est en nous . Il vaut mieux se battre jeune , encore une fois , tous les « jeunes » du regne animal , hommes compris , le font . C’est en l’absence de cet apprentissage précieux que les jugements de « l’internaute » se fabriquent . Mais ils sont faux.
Apres , et en ce qui concerne cet article , la violence , et aussi , le concours de circonstances de la faiblesse physique de la victime font de ce fait , un accident déplorable . Encore une fois , les ados , entre eux et de tout temps , sont sans pitié , le faible , le fort s’en sert pour gagner la dominance , les autres dominés s’en servent aussi pour compenser la peur du dominant. Quand un enfant a une faiblesse connue , on peut assez logiquement redouter un pépin ... mais de là à le prévoir , à incriminer des parents , je n’y pense même pas. C’est regrettable , triste , et dur comme l’est le monde des ados , tres particulier dans la tournure des evenements et tres banal si l’on regarde que le schéma d’une rixe . En effet , pensez vous que les agresseurs pouvaient prévoir celà ?
Alors dans ce monde de brutes , si t’a été un ado calme , c’est que t’étais dominé ou canalisé par la peur de ton pere , tenu , d’une maniere ou d’un autre par la crainte de quelque chose , mon cher internaute. Dans ce cas on peut comprendre ton envie de juger en levant le poing aujourd’hui , tout etant à peu pres sur que si il y avait affront général , tu serais le premier à fuir.
Mais si ce n’est pas le cas , t’as été un frappeur , un ados qui a su trouver le moyen de se faire respecter , ou plus de s’imposer physiquement aux autres , mais alors si c’est le cas , en écrivant ton post , tu deviens rien de moins qu’un menteur.
C’est au choix.
GRL
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Désolé mais je suis passé par des lycées calmes et sans histoires comme la plupart des personnes de mon âge. La guerre des boutons, c’était un roman. La terreur, c’était quand les blousons noirs descendaient des citées. En général il y avait quelques Solex de siphonés et cela n’allait pas plus loin.
Ce que vous décrivez est surement juste mais n’en faites pas une généralité.
La violence n’est peut-être pas génétique comme certains le prétendent mais elle est par contre fortement ancrée dans un type de populations qu’on peut qualifier en terme moderne de « à risque ». Quand aujourd’hui on introduit de force dans les écoles des quantités d’enfants analphabètes venus d’Afrique noire uniquement parcequ’on ne veut pas les renvoyer chez eux, ni leurs parents avec, quand on tolère des squatts où un mari vit avec ses 8 femmes et 15 enfants dans une misère noire (sans jeu de mots) alors là je dis qu’on est totalement responsable du gamin qui se fera tuer dans 10 ou 15 ans par cette population à risque qu’on laisse sciemment se développer chez nous.
Les associations de bien-pensants, les collectifs en tout genre et les réactions attendries à la vue du dernier immigré mal nourri ne servent pas notre pays et nuisent à nos concitoyens. Ceux qui y participent avec tant d’énergie devraient penser au mal qu’ils font aux autres à terme.
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@ internaute
Vous parlez de populations « à risque », pourriez-vous nous dire quelles sont les caractéristiques de cette population ? Pour moi des enfants analphabètes ne constituent pas un risque.
Je suis issue d’une famille d’immigrés marocains, nous sommes 6 enfants, j’ai toujours vécu en banlieue mon frère aîné est arrivé en France à l’âge de 6 ans analphabète, il a fait une année de maternelle, a redoublé son CE1 mais il a appris très vite à parler français et s’est très bien intégré à la classe et a eu des copains de toutes origines, il n’est pas devenu délinquent, ni voyou ni trafiquant de drogue, il s’est bagarré quelquefois avec ses camarades comme tout le monde mais rien de bien méchant. Aujourd’hui il est père de 2 enfants (et je vous rassure il n’en veut pas plus), il travaille et paye ses impôts donc vous voyez bien que vous aussi vous faîtes des généralités. Le monde n’est pas noir ou blanc il n’y a pas d’un côté les méchants que l’on pointe du doigt et les gentils victimes des méchants, on est tous responsable de ce qui se passe chez nous il faut arrêter de jeter la pierre.
Ceci dit je pense comme vous que certains parents devraient être plus responsable quand ils décident de mettre au monde des enfants. On ne devrait pas faire des gosses si l’on ne peut pas subvenir à leur besoin ou leur assurer une éducation et un épanouissement corrects.
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@ L’internaute
Mais comment pouvez vous penser que je fais une généralité de mon cas . Le collège était certes comme tous les autres mais ont était des centaines dedans , donc , des centaines à l’avoir vécu . Si vous n’avez pas participé à ces bagarres , c’est que pré ado , vous vous sentiez pas assez fort pour vous imposer aux autres , vous avez trouvé votre propre stratégie de discrétion et comme d’autres , vous etes passé au travers des mailles . Mais des bagarres dans votre college , admettez au moins qu’il y en avait , dans la cour , en sport ou même à la sortie . ... hin ? Jamais une fois , l’internaute , ce soir on t’attend à la sortie ? A moins que votre pere eut collé sa voiture au portail du college tous les soirs ... je rigole mais , ce que je veux vous dire , c’est que vous me dites avoir été calme , oui , mais qu’il n’y avait rien dans votre college , là , vous avez pour sur une mémoire tres sélective.
Aujourd’hui , vous vous nourissez de la peur et vous faites la cible idéale de ceux qui l’instrumentalisent à d’autres fins et çà c’est dommage , parce que pouvoir réflechir , même si la situation est chaotique , c’est une force. Mais votre discours ne reflechit plus . Pour vous , il est temps d’agir par la force , de répondre à la violence par la violence. Mais je suis sur que vous même , n’irez pas vous battre . C’est ce qui vous échappe , parce que la violence , vous ne la connaissez pas alors qu’elle vous entoure . Alors oui , vous voterez , et si le résultat vous donne satisfaction , d’autres que vous se chargeront de réaliser votre souhait ... mais aussi les leurs . Et à ce moment là viendra le temps ou vous serez peut etre obligés , cette fois ci , de vous battre . Et ce ne sera pas comme dans kunter strike ( je suis sur que vous etes bon à ce genre de jeu d’ailleurs , pas vrai ? )
Etes vous toujours aussi sur de ne pas avoir loupé un ou deux épisodes durant votre jeunesse ?
Et ce n’est pas une accusation . Les affirmés , n’ont que rarement le genre de discours que vous avez , mais le lien que vous ne faites pas , c’est celui qui met en relation vos peurs d’adulte que vous exprimez ici , et celles qui ont marqué votre adolescence et qui ne vous ont pas impliqués dans les bagarres. il faut grandir , car cette situation est réelle , mais on est trop conditionnés pour trancher dans notre pays.
Le rêve des soixante huitards , était de sortir d’un pays , d’une situation , qui puait , puait la mort . La guerre de leur peres avait été rude est longue , et ceux cis pour la plupart , en avaient fait deux. Ils se sont révoltés , ils ont rebati un monde dans lequel la non violence allait etre le principal vecteur d’éducation. Les enfants surprotégés , issus de cette génération d’apres guerre , ne savent pas apprehender le monde en terme de violence, c’est un handicap lourd pour raisonner posément sur ce type de problèmes. Ils ne savent pas se battre . Lorsqu’ils voient des combats engageant des gens qui savent se battre , ils ont tres peur . Voilà une des racine de la peur des adultes d’aujourd’hui . Enfin , car ceux cis ont même peur des enfants maintenant ... C’est celà qu’il faut inverser . On t’agresse mon gars , et ben bats toi , réponds directement , mais ne crie pas « à la racaille » parce que ton combat sera détourné vers pire que tu ne peux imaginer . Tu feras partie de ceux qui regrettent ensuite . Par contre si tu sais répondre à l’agression , on lira peut etre dans les journaux : Un agresseur se fait prendre à son propre piege , il a perdu quelques dents ... bref , et là curieusement , tu n’en voudras à personne en général , parceque tu ne crainrdas plus que çà t’arrive , alors qu’actuellement , çà ma tout l’air d’etre le contraire .
Je sais que c’est pas forcément facile de répondre à çà mais n’est ce pas un peu ce qui se passe . N’est ce pas notre éducation , le désir absolu de ne plus jamais se battre , qui a légerement faussé la donne d’une génération à l’autre ? Restons en regard de celà , faisons nous respecter . Il n’y a pas de raisons qu’un môme de 12 ans en impose sur des adultes , c’est un terrible non sens !
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Bonjour, Dans une époque où le consensus social sur l’éducation des enfants est fragilisé par le recul idéologique des grandes institutions éducatives (l’école, le parcours religieux, la disparition du service militaire), la responsabilité morale et sociale d’éduquer les enfants se concentre fortement sur la famille. La famille a tendance elle-même à être réduite aux relations parents-enfants. Le surinvestissement affectif de l’enfant trouve là sa continuité et peut-être sa limite. On constate que l’enfant d’aujourd’hui est fortement déterminé par ce que le psychologisme ambiant dénommera le désir parental., avec ce que ce désir peut comporter d’aspects. narcissiques. autant qu’oedipiens... Les phénomènes actuels nous interrogent en ce sens, la fétichisation de l’enfant par les parents . la démission des parents ? Et moi aussi je trouve que l’on décède beaucoup par le coeur ces temps ci, peut par manque de coeur ? RH
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Parfaitement , la famille en question , a beaucoup sur les épaules. elle est même amenée à préparer l’enfant à vivre ses relations extra familiales ce qui , dans une certaine mesure , est antinomique. De plus , au fur et à mesure qu’on nous pousse à vivre nos vies comme des « entreprises individuelles » , elle a aussi beaucoup moins de temps pour se réaliser en temps qu’éducatrice.
Un remarque tres juste à mon sens et aussi une clé pour comprendre l’état des choses , merci.
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A la télé, un gamin témoin direct de la scène racontait que le gamin, à terre, avait réçu des coup de pieds dans la tête.
A supposer que cette affirmation soit fondée, c’est çà que vous appelez une simple bagarre ou un peu de chahutage ???
çà me paraît quand même un peu plus violent que ce que certains affectent de croire.
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A 6 mois des elections et avec 26 % d’opinions favorables pour JM LePen , il etait capital de rassurer le bon peuple de France.C’est fait ! Les agresseurs etaient blancs , n’etaient d’ailleurs meme pas des agresseurs , le pauvre garcon etait malade et est decede au cours ce que l’on qualifiera sans doute ce soir aux infos de simple chaut de Collegiens. Dormez en paix braves gens !
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« témoin direct de la scène » ? Apparemment, il y a eu bien beaucoup de témoins, pour une scène censée se dérouler à huis clos (et surtout, hors de portée des yeux du prof de sport).
Tous les policiers savent à quel point les témoignages sont des choses fragiles, et souvent contradictoires. Hors de toute volonté délibérée de mentir, il est fort courant que deux témoins situés au même endroit (mari et femme par ex) n’aient pas vu la scène d’une même manière. On a déjà vu des cas, dans un délit, où un témoin incriminait.. la victime elle-même !
Le procureur, aidé en celà par l’expertise médico-légale, dit « bagarre ordinaire » et « Carl souffrait d’une malformation cardiaque grave avec une artère coronarienne ’large comme un cheveu’, selon l’expression des médecins légistes ». Comme quoi, un coup de pied peut être différent selon qu’il est donné avec force ou non, avec une chaussure de sport ou une rangers coquée..
Arrêtons de tout coller sur le dos de deux pauvres enfants de moins de 13 ans, sur les profs (méritants), sur les surveillants (plus nombreux dans ce collège qu’ailleurs) ou les parents.
Demandons-nous plutôt pourquoi une malformation cardiaque grave n’a pas été détectée lors des examens médicaux d’aptitude au sport, et si ceux-ci sont bien faits avec toute la rigueur nécessaire : Je sais qu’un problème coronarien est souvent silencieux jusqu’à l’infarctus massif, et qu’on aurait probablement pas pu diagnostiquer Carl. Mais, dans bien d’autre cas, un simple test d’effort (Ruffier-Dickson) dans le cabinet du médecin de ville pourrait déjà montrer bien des choses.
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Encore une triste nouvelle : un collégien est décédé dans un collège à Meaux. L’autopsie révèle que l’enfant de douze ans n’est pas mort roué de coups mais qu’il n’a pas supporté les coups infligés par une fille et un garçon de onze ans.
— -C’est quand même formidable de voir les excuses qu’on trouve dès que les auteurs de violence sont de la racaille de banlieue.
C’est pas parce qu’ils l’ont frappé, c’est parce qu’ils l’ont frappé ET qu’il avait une malformation cardiaque. L’excuse de la faute des agresseurs par une faiblesse de la victime, de mieux en mieux.
A ce tarif là, Brahim Bouarram n’est pas mort parce que des skinheads l’ont jeté dans la Seine, il est mort parce qu’il ne savait pas bien nager.
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Faudrait-il donc affecter de trouver quasi ordinaires de tels faits, en n’y voyant rien d’autre que la collusion hasardeuse entre le simple chahut (pour « formateur » qu’il soit), et une malencontreuse fragilité organique qu’il était impossible de déceler ?
A mon avis, les profs font déjà plus que leur possible pour contenir le flux des phénomènes de société dangereux qui investissent le milieu scolaire. Un péril qui n’est pas des moindres tient certainement au fait que des contenus ultra-violents se trouvent banalisés dans l’opinion. Il ne faut pas omettre, en effet, les aspects mimétiques liés à la propagation de la violence (cf R.Girard). A ce titre, il semble bien que les discours qui s’attachent à banaliser l’expression de « la loi du plus fort » ont des conséquences particulièrement destructrices, ouvrant la voie à l’impassibilité et à l’anomie, pour ne pas parler de sombres relents historiques.
Puissions-nous garder les yeux suffisamment ouverts.
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1) L’enfant est décédé des suites d’un choc émotionnel. Or un choc émotionnel peut se produire en toute sorte d’occasions. Cet enfant serait peut-être mort en cours d’EPS ou à la maison après une dispute avec un des membres de sa famille. Qu’aurait-on dit alors ? 2) N’y avait-il pas de rixes dans la cours quand vous étiez élève ? Viviez-vous àParadise City, la ville où il n’y a jamis de bagarre dans la cour de récréation ? Des jeunes qui se battent, ce n’est pas nouveau ! 3) Et bien sûr, ces enfant qui se battent, c’est la faute à qui ? La faute aux enseignants qui ne font rien, qui se tournent les pouces, laissent les élèves se faire agresser (je souligne d’ailleurs qu’en cas d’agression grave, c’est plus aux services policiers d’intervenir qu’à un CPE ou à un prof de français. Ce n’est pas une heure de colle qui va punir à hauteur de son acte l’élève qui a casé le nez de son camarade). Et bien entendu, un enseignant qui est averti d’un racket, ferme les yeux ! 4) Et encore une fois, quid des parents ? Encore une fois, l’éducation des enfants doit être totalement assumé par l’Education Nationale. Pauvre pays d’assisté qui ne doivent surtout pas prendre leur responsabilité !
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@Frédo45 : « je souligne d’ailleurs qu’en cas d’agression grave, c’est plus aux services policiers d’intervenir qu’à un CPE ou à un prof de français. Ce n’est pas une heure de colle qui va punir à hauteur de son acte l’élève qui a casé le nez de son camarade) »
Au secours ! Les flics à l’école, maintenant...
Il faut arrêter les âneries : si on a créé l’ordonnance sur les mineurs de 1945, c’est pour de bonnes raisons. Entre autres, parce qu’un gamin de 12 ans qui casse le nez de son camarade ne le fait pas pour les mêmes raisons qu’un de 18, ni avec le même discernement.
Casser le nez d’un camarade, ça peut parfaitement arriver à des gamins très gentils, qui essayent simplement de se défendre contre un grand idiot un poil tortionnaire ! Et la sanction ne sera pas d’ « une heure de colle » mais plus probablement d’une exclusion de plusieurs jours (pour une simple bagarre ordinaire sans conséquences, le tarif chez moi était déjà de trois heures !).
Ce n’est donc par aux « services policiers » d’intervenir mais bien aux gens censés assurer l’éducation (pions, profs, principal, parents, psychologues scolaires, voire même prêtre, pasteur, rabbin ou imam). Au pire, ça sera à un juge des enfants de faire un rappel à la loi (un sermon, en bref) ; mais à quoi bon, si la honte de son geste et la réprobation générale sont déjà la pire des punitions ? Ce genre de solutions ne doit rester que le dernier recours, dans les cas où on a affaire à des « sauvageons » déjà engagés sur la pente de la déliquance.
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Pourquoi systématiquement opposer les services de police à l’école ? Je rappelle que par exemple, la plupart des actes de racket ont lieu à la sortie de l’école. Pourquoi ? Parce que c’est moins dangereux pour l’élève de le faire après les cours que pendant la récération où la surveillance est plus grande ! Dans ces cas-là, que faire si ce n’est avertir les services policiers. Je l’ai vécu dans une école où j’étais en stage. Le directeur a été obligé d’en arriver là. De plus, les auteurs de racket ne sont pas forcément des élèves de l’établissement. Par ailleurs, quand un élève est multi-récidiviste dans les actes de violence, dîtes-moi à quoi sert un conseil de discipline ou une expulsion plus ou moins longues ? Je ne suis point un adepte du tout-répressif mais il y a des limites... Si on veut qu’enseignants et élèves puissent travailler correctement, il faut à un moment prendre des sanctions ! Comme vous le dîtes, l’éducation est l’affaire de tous et pas seulement des enseignants !
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Ce pauvre enfant est tué (assassiné ?) à coups de pieds la veille de Noel.... On me dit qu’en plus ce seraient des allogènes tres jeunes qui auraient été les assassins ? (presse étrangère !!!). On raconte aussi qu il était le souffre-douleur des allochtones de cette école ? (presse étrangère... !!!)
Les journaleux bobos, et certains en mal d excuses aussitot trouvent des excuses à ce crime affreux : l’enfant martyrisé avait un problème cardiaque...
Mais alors comment se faisait il quil était en sport ? Avait-il passé une visite médicale d aptitude ? Que fichait le médecin scolaire ? Ces visites de médecine préventive sont elles au moins organisées ?
Plutôt que de faire de la « pédagogie » et de la « démagogie » ces profs feraient mieux d enseigner les arts et belles lettres aux enfants, et de les surveiller à la récré ! Pour la « morale » encore eut-il fallu en avoir (de la morale !!!!)
C est vrai que decrire des tracts et des pétitions, et de peindre des banderolles stupides, et de preparer des chansons pour les prochaines greves et autres defilés « unitaires » ca prend du temps !!!!
Et pourquoi protège t on donc tant ces sauvageons qui tuent nos gosses ????
Et en plus deux poids , deux mesures : un musulman ivrogne se noie dans un canal à Nantes : « on » (certaines associations « bien pensantes » parceque subversives) remue ciel et terre pour essayer de mettre en taule nos policiers et si possible en faire une affaire d ’Etat, et après, on tue un de nos enfants à coups de pieds ET on invente toutes sortes d excuses pour dédouaner les auteurs ????
Que cherchent ces gens des médias ???? Et autre manipulateurs ? Se rendent ils compte qu ils ne donnent même plus le change aux Francais ??? Quand je vois certains journalistes maintenant, je les mets au même niveau que les dealeurs, les putains, les maquereaux et les politicards....
On verra cela l’an prochain !...
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@ Ar Brezonneg
notez nous des liens ! Je veux en savoir plus, je ne trouve rien par google sur le sujet !
Bill
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@ Ar Brezonneg,
S’il vous plaît, dites-nous où vous avez eu ces tuyaux sur les échos de la presse étrangère ? Comme Bill, je n’ai rien trouvé.
Merci.
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Le seul but actuellement de la classe politique est de tenir jusqu’aux élections sans gros scandale en matière d’insécurité, d’immigration, de clandestins...
La véritable situation de la France doit être camouflée par tous les moyens.
La complicité des médias est ahurissante et inquiètante.
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L’invasion migratoire est au prix de la vie des blancs, et les mensonges sur le caractère « cardiaque » de la victime tout comme les mensonges entourant le meurtre du supporteur blanc du PSG sont à l’image de la subversion mise en place par des médias collaborateurs de la colonisation de masse de l’Europe. Nous pendrons le dernier député avec les tripes du dernier bétonneur.
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il y a une grande difference entre « petites querelles entre eleves » et « tabassage qui entraine la mort ».
Il faut plus qu’un tirage de cheveux pour entrainer une crise cartiaque !
Psychatres pour les enfants, prison pour les parents. Inutile de polémiquer.
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Ecoeurant...
Je savais qu’il y avait quelque chose de pourri en France, mais là... Maintenant ils s’en prennent aux mômes, aux petits mômes ; aprés les ratonnades anti-blancs de mars 2005 et 2006 ; aprés les petits vieux assassinés à coups de « crises cardiaques » dans la gueule ...
Et toujours le même mépris , les mêmes crachats sur les morts...Enfin : sur ces morts là : des « petits blancs » comme disent Mélenchon et ses potes du MRAP,...
Et quel foutage de gueule : entre le proviseur qui dit un jour que les agresseurs sont « européens » et le lendemain qu’il n’y a pas eu de tabassage...Le « procureur » qui change de version d’un jour sur l’autre avec pour seule constante que de toute façon le môme est « mort de trouille » (normal, hein ? un « petit blanc » ça péte de trouille en permanence)et que les pauvres assassins sont « traumatisés »...
Et ces débordements des petits nazis anti-blancs : à vomir... Ils ont craché sur le supporter tué par le policier noir (qui lui n’a pas une égratignure : super, la « légitime défense ») ; ils ont craché sur les collégiens tabassés lors des manifs (et dont pas un n’a porté plainte : le masochisme et l’auto culpabilité sont bien intégrés ) ; et là le pauvre gosse ... C’est à pleurer...A pleurer...
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Voila un fait, très triste, mais dont ne devrait rien pouvoir dire.
Or, que lit t-on ?
Tous, et, surtout, n’importe quoi.
Trop d’égalité ! Trop d’arabes ! Pas assez d’argent !
Et, pourtant, c’est seulement très triste.
Vraiment très triste. Mais, ce qui se dit, c’est révoltant.
Le Peripate.
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ce qui est vraiment navrant, c’est l’attitude qui consiste à se positionner par rapport à d’aussi tragiques phénomènes de société en fonction de critères de couleur de peau. C’est la notion de la personne humaine qui est en cause. Et il importe de se tenir à la notion d’une école dans laquelle différentes communautés et même milieux sociaux puissent se cotoyer et se mélanger.
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@PERIPATE Effectivement vous dites n’importe quoi « Trop d’égalité ! Trop d’arabes ! Pas assez d’argent ! » c’est vous qui le dites....
Mais ce n’est pas seulement triste...C’est vraiment révoltant... Et vos commentaires de petit bobo suffisant et méprisant sont particuliérement révoltants...
Qu’un petit môme se fasse tabasser à en crever parce que sa couleur de peau dépare dans le paysage , et qu’en plus on enterre la vérité avec la cadavre et un satisfecit aux assassins , c’est écoeurant...
Si le petit môme avait eu la peau noire et ses assassins la peau blanche, vous l’auriez dit avec moi. Alors reflechissez un peu avant de baragouiner vos idées toutes faites et votre mépris de classe.
Dites vous que même les mômes qui n’ont pas les moyens d’aller dans le privé ont le droit de vivre, quelle que soit leur couleur de peau.
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@ daniel.
Vous ne me connaissez pas, et pourtant, pour vous je suis un bobo. Voulez vous voir ma feuille d’impôts ? Affirmez vous que je n’ai pas pu lire ces commentaires sur ce fil même ? Le petit garçon avait une couleur de peau ? Je l’ignorais.
Visiblement, pas vous.
Le Peripate.
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Votre logo et votre pseudo montre à lui seul votre boboisme. Vous êtes un gavé, acceptez le.
Vous méprisez les gens qui ont perdu leur emploi parce que leur boite a été délocalisé (Il me semble vous entendre quand vous parler avec vos semblables, pour vous c’est des « looooosers ») Cessez la compassion, ayez le courage de dire « salaud de pauvres ».
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@122 L’attaque ad hominem est un procédé rhétorique bien connu. Il disqualifie automatiquement celui qui l’utilise.
Adieu.
Le Peripate.
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@PERIPATE
- La feuille d’impôt ne fait pas le bobo. L’état d’esprit y suffit. Et je vous rassure : vous l’avez. Je connais des prolos payés à peine le Smic qui votent LePen, et des aristos comblés par la vie qui militent à la LCR. Comme quoi vous n’êtes pas le seul à ne pas déterminer vos choix par rapport à vos revenus. Et cela , c’est à votre honneur, aprés tout.
- La couleur de la peau du môme, c’est ce qu’il y a de plus criant dans cette affaire. Les 1éres réactions de l’Académie ont été , je vous le rappelle ou vous l’apprends, de déclarer qu’il n’y avait pas de racisme dans l’affaire et que les agresseurs étaient « européens ». On connait la suite...
Que vous n’ayez pas noté la couleur de la peau du petit garçon assassiné, c’est possible...Mais ceux qui continuaient à le frapper quand il était à terre, eux ils l’avaient certainement remarquée.
- Le réaction du procureur est elle aussi proprement révoltante, en ce qu’elle enterre toute enquête approfondie...
Quant au quitus accordé d’office aux assassins, vous m’excuserez mais c’est à vomir...
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@ Daniel
Mais tu es qui toi, pour me parler comme ça !!! Personne ne t’a appris à débattre de manière civilisée !!!
Ceci est un forum, et si j’ai un point de vue, je le dit, et tes intimidations trollesques ne me feront pas taire.
Le Peripate.
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Comme vous dites : c’est un forum. J’ai autant de droit que vous de m’y exprimer. Pour ce qui est de la civilité, je ne pense pas y manquer. Pour vous, relisez vos propos : ou nous n’avons pas la même conception de la civilité , ou vos propres propos vous dépassent.
Pour le reste c’est votre probléme. Pas le mien.
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Je ne crois pas vous avoir qualifié de quoi que ce soit. J’ai relut mes propos. Voici ce que j’ai trouvé :
Voila un fait, très triste, mais dont ne devrait rien pouvoir dire.
Or, que lit t-on ?
Tous, et, surtout, n’importe quoi.
Trop d’égalité ! Trop d’arabes ! Pas assez d’argent !
Et, pourtant, c’est seulement très triste.
Vraiment très triste. Mais, ce qui se dit, c’est révoltant.
Le Peripate.
Et voici ce que vous me dites :
Vos commentaires de petit bobo suffisant et méprisant.
Eh bien, je ne vous aime pas, c’est bien possible. Mais je ne vous méprise pas.
Le Peripate.
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Cette agression n’est que l’arbre qui cache la forêt : on en parle parce qu’on ne peut pas faire autrement puisqu’il y a mort d’homme. Sinon, nous n’en saurions rien !
Combien d’agressions, d’intimidations diverses et variées, d’insultes et de rackets, ne font l’objet d’aucune plainte ? Serait-elle d’ailleurs recevable, surtout en ce moment où l’on fait tout pour camoufler le véritable état des lieux en matière de violence et notamment de violence scolaire ? On vous dissuadera toujours de déposer une plainte qui fait monter les statistiques officielles. Mais cela ne trompe pas plus que les chiffres du chômage.
La France va-t-elle se réveiller ?
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Cette agression n’est que l’arbre qui cache la forêt : on en parle parce qu’on ne peut pas faire autrement puisqu’il y a mort d’homme. Sinon, nous n’en saurions rien !
Combien d’agressions, d’intimidations diverses et variées, d’insultes et de rackets, ne font l’objet d’aucune plainte ? Serait-elle d’ailleurs recevable, surtout en ce moment où l’on fait tout pour camoufler le véritable état des lieux en matière de violence et notamment de violence scolaire ? On vous dissuadera toujours de déposer une plainte qui fait monter les statistiques officielles. Mais cela ne trompe pas plus que les chiffres du chômage.
La France va-t-elle se réveiller ?
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Si les enseignants de cet établissement étaient tous envoyés à la guillotine, croyez moi, l’ordre régnerait dorénavant dans les écoles. Mais on connait « Fonctionnaire, toujours responsables, mais jamais coupables ». Quelle bande de fumier !
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Et si les connards étaient envoyés à la guillotine, m’est d’avis qu’on n’aurait plus de posts ineptes comme ci-dessus.
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On a malheureusement en France l’école que nous méritons...Décadente et dégénérée à l’image du pays tout entier...Il serait temps de se poser les vraies questions :
- quel est le rôle de l’éducation nationale (ses objectifs, ses missions...)
- quels sont les moyens mis à dispositionBref, les moyens sont-ils en adéquation avec les objectifs qu’il serait bon d’atteindre ??? Bien sur que non mon général...Et c’est pas demain la veille que ça va changer, la classe politique (de droite ou de gauche, c’est fait avec le même bois) corrompue et abêtie n’étant préoccupée que par sa réélection et les privilèges qu’elle en tire...
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Surtout, quel est le rôle d’une sous-culture de merde, disséminée par les grands groupes aux mains du capital apatride qui valorise le petit prédateur merdeux, proxo ou dealer. Quand on dissémine des roles-models comme Joey Starr, pas surprenant que les momes se comportent comme Joey Starr. L’important à comprendre dans l’affaire tragique en question c’est si cette bagarre dépassait la norme des affrontements entre gamins dans la cour de récré. Et comment se fait-il qu’un tel état de vulnérabilité cardiaque n’ait pas été détectée plus tôt.
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bonjour a tous
Non l’Ecole n’est pas victime de la démocratisation , elle n’est que le reflêt de la socièté dans son ensemble .
Ce n’est pas un problème de manque de moyens qui n’ont jamais été aussi importants . Que faisaient nos instits dans les années cinquante avec des classes de quarante . ils nous apprenaient à lire et à écrire et cela dans le calme , l’ordre et la discipline et même la bonne humeur.
Qu’est ce qui a changé . Ce n’est pas la démocratisation ni une diminution des moyens mais l’arrivée massive d’enfants venus d’ailleur pour lesquels notre système de discipline n’est pas adapté . Les allochtones n’ont pas le monopole de la violence mais déja du temps de mes enfants et encore plus du temps de mes petits enfants quand j’entend dire qu ’il ou elle a été frappé ou menacé ou racketé en général KAMEL n’est pas loin . Ma fille qui a maintenant trente trois ans se faisait taxer son quatre heure par KAMEL qui etait à l’époque en exemplaire unique dans sa classe . Ses enfants ont à faire à KAMEL multiplié par dix .
Explication simpliste mais qui est la mienne : Intégration ratée , taux d’allochtones trop élevé par rapport aux autochtones font qu’au lieu d’ammener les nouveaux venus à nos valeurs ce sont eux qui nous imposent leur modes de fonctionement .
Je n’ai pas la solution mais ce n’est pas en refusant de voir le problème qu’on va améliorer la situation . La politique de l’autruche n’a jamais rien donné de bon .
Vive la république quand même .
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Allons Cambronne, fait pas le timide, tu l’as la solution. Va s’y, l’époque est aux tabous que l’on brisent !!!
Ah, et en passant, cette école idéalisée des années 50 échouait visiblement à enseigner l’orthographe !!!
Non, là, je suis vache. Mais je suis en colère. Mille excuses.
Le Peripate.
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Péripate
Question orthographe relisez vous et vous découvrirez si vous le pouvez que dans votre petit post il y a de quoi faire !
Si vous n’y arrivez pas je vous aiderai à vous corriger .
Arme redoutable que vous essayez de manier, l’orthographe des autres revient en général avec effet boomerang .
Bonne année !
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Bonne année !!!
Le Peripate.
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En lisant l’article (stupéfiant de naïveté) et les commentaires, il est surprenant de lire ce genre de choses : « Arrêtons de tout coller sur le dos de deux pauvres enfants de moins de 13 ans ». C’est bizarre cette manie de vouloir idéaliser les enfants parce qu’ils sont des enfants et, à ce titre, innocents et bons (merci Rousseau). Quelle explication à cette antienne ?
Ses défenseurs n’ont pas d’enfants ?
Ils veulent eux-mêmes se sentir bons et innocents à travers le mythe de leur innocence perdue ?
Ils ont préféré oublier le meurtre de sang-froid commis par deux merveilleux jeunes Anglais (de 11 ans justement) sur un petit garçon de 2 ans ?
Ils sont fondamentalement bons et chaque soir font dormir le loup et la brebis dans la même couche, au panthéon de leurs fantasmes angéliques ?
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aurelien 8 mai 2007 18:08Une approche transversale, oui.
Les écoles sont aussi un peu le reflet de la société.
La société est de plus en plus violente, compétitive, et les comportements violents à l’école sont de plus en plus fréquents.
Je crois que la démocratie est victime de sa propre scolarisation aussi.
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Merci d’avoir apporté une réflexion supplémentaire à mon article. Votre bref commentaire souligne une remarque pertinente.
Dans le débat actuel, les discours politiques sont des discours politiciens ou électoralistes. L’avenir d’une nation est d’être capable d’équilibrer ou de changer les structures sociétales d’une société en mutation permanente. Or je ne vois pas la réelle politique menée pour la transformation de la société. Mais mon souhait est utopiste !
La violence est un fait humain et un certain nombres de règles morales ou juridiques viennent corriger ou atténuer ce comportement.
Aujourd’hui, je trouve que la société humaine n’est toujours pas parvenue à protéger les enfants violents victimes eux-même des effets de leurs violences. L’enfant en tant que tel n’est pas un être innocent mais il est aussi un être en devenir, et nous adulte nous avons la responsabilité et le devoir de le protéger.
La démocratie n’est qu’un modèle, elle reste toujours à inventer !
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