Je n’ai aucun respect ni aucune compassion pour ce genre d’assassin de la route ;
Ma première petite amie est morte sur le coup à cause d’un assassin du volant qui se croyait seul sur la route et fonçait comme un dingue, fier de sa nouvelle voiture et de son permis de conduire. Les pompiers nous ont dit qu’il ne restait plus rien au dessus du bassin de reconnaissable.
Ma mère est handicapée à vie à cause du même genre d’assassin qui aussi se croyait seul et à accéléré comme un dingue, parce que disait il, il était à quelques km de chez lui et qu’il connaissait la route par coeur. Hors en doublant dans un virage, en haut de côte, il ne pouvait voir ma mère arriver dans sa petite R5 en rodage.
Alors voyez vous Lisa et les autres, apprenez que la compassion envers ce genre de personnage n’existe que lorsqu’on a pas connu cela personnellement.
Et que oui, même 30 ans après, ces ordures là on a encore envie de prendre un flingue et d’aller les dézinguer. Que ce ne sont pas que les vies des victimes qui sont détruites, mais celles aussi des familles proches. Que chaque fois que l’on voit dans la rue un taré jouer de l’accélérateur, on a envie de sortir le bazooka pour éviter un drame futur.
Si seulement votre texte pouvait au moins calmer un tout petit peu quelques inconscients, ce serait pas mal du tout.
Le genre de comportement que cela a induit chez moi, d’abord ne plus jamais prendre le volant d’une voiture parce qu’à chaque carrefour je vois les voitures de ma copine et de ma mère réduites comme une compression de César.
Et étonnement, quand je volais, je ne faisais mes conneries que tout seul, sans passager, sans autres avions dans la zone.
Et qui vous a raconté cette histoire d’azote laissée par les avions ? Faut arrêter de trop lire Morice, ça doit venir de là.