@reve
vous faites une véritable paranoïa du complot ma parole.
Les firmes en question font de le recherche,d’abord, et mettent sur le marché une série de produits, qui ont entre autre permis le formidable bond des rendements agricoles,ce qui a évité les famines prédites par les cassandres de service.
Seulement, comme toujours, malgré des efforts notoires pour encadrer l’utilisation de ces produits évidemment dangereux, on a fait n’importe quoi.Pour le fermier lambda,la croyance que doubler la dose était une bonne idée,persiste encore de nos jours.Et le plus inquiétant, c’est que du fait de la mondialisation, le fermier marocain, du Kénia, ou même chinois va nous envoyer des produits qui auront subi le même traitement,il n’est que de voir la façon dont est organisée la culture des fraises en Espagne.
Ces produits utilisés judicieusement peuvent rendre de grands services,mais comme pour le DDT, force est de reconnaître que l’on y a été gaiement.
Par contre faites l’expérience vous-même,et je la vis en direct,car je suis voisin d’une foret domaniale où on a proscrit les pesticides,vous constaterez que en quelques mois, la nature a repris le terrain,les chardons, coquelicots, bleuets orties, ronces etc prolifèrent,je suis réveillé tous les matins par une profusion d’oiseaux qui s’égosillent.
Je veux dire par là que rien n’est irréversible, que,parce que nos sociétés sont riches, elles peuvent se permettre de remettre le curseur à un meilleur endroit. C’ezst le moins que l’on puisse souhaiter pour les autres peuples, mais pour cela, il faut se développer,créer des richesses c-a-d des biens,et avoir accès à l’énergie.la femme africaine qui tous les jours fait sa tambouille à terre sur un foyer de charbon de bois, fait plus de tort à la planète que le fermier qui va faire ses courses dans son 4X4.
Il n’y a aucune raison de refuser le progrès, y compris ses aspects négatifs,car personne n’est capable d’imaginer ce que sera notre monde dans 100 ans