A propos de cet oxymore d’anthologie (si, si, j’insiste !) « Capitalisme Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable » (ouf..), Sisyphe ci-dessous vous en dit déjà un peu plus long.
- et puis vous n’allez pas en faire un fromage, hein, Llabrés..
Quant à moi, j’avais cru nécessaire de vous préciser : « (..) combien ont tenté de vous l’expliquer ». Peine perdue, semble-t-il, depuis le temps..
Il y a sur ce fil, de la part de certains, comme une confusion entre l’entreprenariat personnel - qui est éminement respectable - et l’organisation transnationale des puissances de l’argent, visant à l’exploitation globale des hommes et des ressources. Ce qu’est le capitalisme, en essence.
A cette échelle globale du capitalisme, théorisée par le néolibéralisme, ce doux emphémisme de l’optimisation du profit devient immanquablement une tyrannie : le fascisme. Et les principes de la démocratie, les droits de l’hommes, n’y sont plus désormais que des entraves insupportables.
Messieurs Llabrés et consorts, je vous y invitais : empruntez donc Le Capital auprès de la bibliothèque de votre quartier..