Commentaire de armand
sur Grenoble : après la prière, l'émeute
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Ah, j’allais oublier, très cher Freiherr..
Point n’est besoin de recourir à la maison accueillante de Madame Madelon - ni même au mythique One-Two-Two, ni même au Chabanais, et encore moins à l’inscrutable Sphynx, où le polisson Bertie trompait la surveillance de sa maman Victoria au milieu de pécheresses à un louis la nuit.
Ce sont la de simples couvents du plaisir, où, sous l’oeil protecteur de la police, se faisait l’éducation et la cueillette de tant de jeunes pucelages.
On peut avoir l’ambition d’accéder au rang d’un véritable clubman, déshabillant des duchesses, inspirant des caprices aux plus élégantes des impures et goûtant le charme du raffinement le plus exquis dans le plus nouveau décor de la grâce féminine.
Derniers commentaires
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21/07 18:28 - N.E. Tatem
Salut Il vient de frapper ICI, contre la Fnac pour un spectacle du théâtre engagé queque soit (...)
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20/07 00:52 - Franz Ferdinand Von FritzenSouchern
je sais, mes admirateurs sont tellement pris de joie à l’apparition de mes nobles et (...)
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20/07 00:50 - A. Nonyme
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Bien vu Perséus, c’est le genre de détails qu’on voit pas lorsque l’on lit un (...)
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19/07 22:41 - armand
Ah, que voilà la charitable mise en garde d’un vrai Jünker, adepte des joutes tant (...)
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