Merci de cet article, qui remet parfaitement les choses (et les mouvements et médias divers) en place.
Entièrement d’accord avec ce passage (je cite) :
Il n’y pas de République démocratique si les intérêts du peuple ne sont pas représentés selon le principe des mêmes droits pour tous, et les représenter c’est défendre sa condition à travers quoi se décline notre République sociale, ses acquis sociaux et ses services publics. Garantir ces deux premiers attributs c’est défendre la République laïque dont le pivot est l’égalité de traitement des citoyens indépendamment de la couleur, de l’origine ou de la religion, c’est ainsi défendre la nation et son indivisibilité comme le territoire où partout la même loi vaut pour tous. Il n’y a pas de peuple sans nation et la République doit être à son service et non se mettre à disposition des intérêts privés et du clientélisme politico-religieux !
Des initiatives doivent être prises dans le sens de la définition de ce programme républicain s’appuyant sur les valeurs d’une République qui, poussée jusqu’au bout, contient le principe d’une transformation sociale guidée par le progrès dont on ne mesure sans doute pas aujourd’hui toute l’étendue. Il faut redonner l’initiative aux capacités humaines. Ceci passe par une lutte sans merci contre l’affirmation du sectarisme religieux ou/et identitaire qui dépossèdent l’homme de ses droits individuels inaliénables au nom de la logique de la communauté contre le bien commun et l’intérêt général.
pour éviter tout dérapage dans un populisme dévastateur, dans un renforcement des communautarismes ; que ce soit celui des islamistes intégristes, ou celui des identitaires nationalistes tout aussi intégristes.
Merci de votre analyse.