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Commentaire de Arafel

sur Grenoble : le quartier de la Villeneuve vu par Libération


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Arafel Arafel 22 juillet 2010 22:18

« La ou la religion ne fait plus son œuvre, la Justice doit être implacable. »
Pasquale Paoli (1768)
La Justice qu’il avait instauré, n’était pas tendre pour les voyous, elle fut connue sous le nom de ghjustizia Paolina.
Pasquale Paoli etait un homme épris de justice. La corruption, le vol, la partialité lui étaient en horreur.
Avec une énergie sans cesse renouvelée Paoli instaura une justice à son image, rapide, juste, impartiale, à l’abri de toute corruption, mais cependant très ferme.

L’université de Corse, qu’il avait fondée sous le généralat en 1765, fermée par l’armée de Louis XV en 1769 et rouverte en 1981, porte son nom.

Aux États-Unis, les Fils de la Liberté se disaient inspirés par Paoli et son combat contre le despotisme. Ebenezer McIntosh, l’un des chefs des Fils de la Liberté, baptisa son fils Paschal Paoli McIntosh en son honneur. En 1768, le rédacteur en chef du New York Journal décrivit Paoli comme « le plus grand homme de la terre ».

Aujourd’hui, pas moins de cinq communes américaines portent le nom de « Paoli » : en Pennsylvanie, où la ville doit son nom à la « General Paoli’s Tavern », un point de rencontre des Fils de la Liberté, dans l’Indiana, le Wisconsin, l’Oklahoma et le Colorado. C’est ainsi que, lors de la guerre d’indépendance des États-Unis, une bataille a opposé l’armée continentale des insurgents aux troupes britanniques à Paoli (Pennsylvanie) en septembre 1777[5].

Enfin, en 2003, un des ferries les plus importants de la SNCM a été baptisé du nom de Pascal Paoli.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_Paoli

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