"
Encore une fois, je ne dis pas que c’est bien. Je constate juste que
ces gens, malgré leur dénuement et leur pauvreté absolue, semblent
nettement plus heureux que nous en moyenne, et en particulier que ceux
d’entre nous qui sont les plus pauvres. Il y a là il me semble quelque
chose d’intéressant qui mérite qu’on se pose des questions. problème de
mentalité, d’organisation de la société, de valeurs, de mode de vie ?...«
ca depend ou. dans les bleds de madagascar, oui, ils vivent a l’acienne ou au tibet. mais des qu’il y a quelque chose a prendre ils sont confrontes a la »civilisation" qui engendre des bidons villes
"Il me semble qu’une grande partie du problème vient de deux choses :
-
notre mode de vie qui est fortement générateur de dépendance, car il
devient quasi impossible de fabriquer par soi-même ce dont on a besoin
(en tout cas pour le mode de vie urbain).
- notre société de
consommation, où une myriade de produits et de richesses nous sont
étallées sous le nez, source de toutes sortes de tentations, ce qui
génère pour la plupart d’entre nous plus de frustration que de plaisir
(car la plupart d’entre nous ne peut se payer qu’une toute petite
partie de tout ce qui est à vendre et susceptible de lui faire plaisir).
... mais je ne doute pas qu’une analyse plus poussée puisse mettre en lumière bien d’autres facteurs."
des tas de choses sont interdite en ville, genre les poules, le reste est un condionnement sur 50a. une population dependante est, par exemple, controlable grace au rationnement
"Rajoutez à tout cela une couche de déliquescence de notre société
(économique, respect des autres et de l’autorité, etc....), et vous
obtenez notre beau pays... charmant !«
partout pareil
et si le pays est chaud, il est facile de vivre a la dure
il y aussi le fait que dans certains reportages (une grande riviere bresilienne), le »riche" considere la difference comme de la pauvrete