Toutes les études concourrent à démontrer que le
qi moyen est statistiquement en relation avec le volume cérébral moyen qui
détermine le nombre de neurones et que ce dernier est en relation avec le
critère racial.
Cela est à nouveau
faux : puisque ces études montrent avant tout que si corrélation il y a
entre volume cérébral et QI :
celle-ci est faible, et au final ne compte que pour peu dans les variation de qi : sans compter que dés lors qu’on
tente d’établir corrélation entre qi
et volume cérébral les résultats diffèreront largement entre hommes et femmes
(pour les deux lobe frontal impliqué, mais pour les hommes ce sera associé avec
le lobe pariétal et pour les femmes principalement avec l’aire de Broca).
Et à nouveau, le qi ne se confond pas avec le concept
général d’intelligence.
D’ailleurs Jensen
et Rushton, ceux qui ont mené l’étude à laquelle vous vous référez, au final,
en viennent à se mélanger les pinceaux dans leur obsession racialo-centrée : puisque alors que dans une étude
ils tentent de démontrer corrélation entre volume cérébral et QI : ils se
retrouvent d’un autre à devoir se contredire et à reconnaître que la correction
du gap (volume moyen) entre Noirs (concept à définir puisque : 1) les
Afro-Américains sont d’origine diverse et variée et ont en partie une
ascendance européenne) et 2) l’Afrique possède la plus grande diversité
génétique autant que de couleurs : 3) au final le concept noir a peu de pertinence) et Blancs
ne change rien au gap entre qi moyens :
ce qui revient à dire dans une étude l’inverse de ce que l’on dit dans une
autre : je ne doute certainement pas de leur haut qi mais il me semble que là : les capacités en matière de cohérence
et logique semblent entamées.
Comme déjà cité l’effet
Flynn, ainsi que les exemples où le qi moyen
évoluait chez des populations afro-américaines ayant eu accés à une meilleure éducation
et alimentation, autant que chez les populations de migrants : pour
exemple si il y a gap entre qi moyen
des Afro-américains et des Blancs aux
US : ce gap ne se retrouve plus en Allemagne.
A nouveau comme
déjà dit : si héritabilité il y a : celle-ci n’implique pas
inchangeabilité : nous parlons de potentiel et non d’une capacité invariable :
il demeure donc à nouveau le fait que les conditions environnementales (éducation,
nutrition, pollution, santé,etc…) ainsi que les soins prénataux et pédiatriques
ont un impact beaucoup plus important qu’un quelconque hypothètique gène de l’Intelligence.
De plus face à
votre crainte et votre obsession du QI : je vous rappelle que le volume
moyen cérébral des femmes est inférieur à celui des hommes : donc question considérez-vous
qu’afin d’éviter déperdition qi-tique :
il faille considérer un système de reproduction asexué et éliminer les femmes
inférieures (selon votre système hiérachique) du champ de la reproduction ?