Je suis complètement d’accord quelques réactions à votre article : à savoir ne lire qu’en diagonale ce que vous partagez de votre gai désespoir ci-dessus
Parce que c’est bien d’évoquer un sentiment, une interrogation et un désespoir qu’on provoque cette partie dubitative et hésitante en chaque être que parfois la spiritualité parvient à calmer et même à apaiser : la pensée nihilistique opposée à la pensée philosophico-religieuse, sans entrer dans aucun dogme ni doctrine ni encore invention fantastico-onirique d’influence mystique.
Là je partage ce qui semble être de la foi et la pensée presque religieuse. De la foi en une profonde quiétude qu’il est possible de trouver non pas en d’incessants questionnements, mais en des réponses radicales. Si vous devez vaciller dans votre foi ou raisonnement, en faire part ainsi en mélangeant savoir, religion, connaissance et philosophie purement verbale et orale, sans aucun appui physique, cosmologique et archéologique, effectivement vous perpétrez un cycle sans fin.
Ce cycle est plus nocif que le cycle de la vie même. Qui lui est inerte et inaltérable, mais que des pensées hésitantes rendent pénibles.
Vous remarquerez que finalement la véritable interrogation est de savoir et comprendre pourquoi une personne de votre qualité a besoin de se rapprocher et peut-être à se raccrocher à une idéologie quelle qu’elle soit.
J’ai parlé de spiritualité plus haut, mais ça aurait aussi pu être des mathématiques ou de la psychologie pour palier à cette recherche de soi et répondre à ce désir de grâce intérieure.
Parce que quelque part, plus que vous ne rassurez les esprits simples, vous les confondez, il suffit juste de lire le titre
Pour finir, il s’agit pas là d’une plainte de l’expression de vos opinions et philosophie, mais pour traiter d’un thème aussi difficile que Dieu, uniquement des mots ne suffisent pas.
Si votre livre comporte autre chose, alors tant mieux.
Cette réaction ne constituera alors qu’une remarque sur votre article très peu attrayant pour ma gouverne.