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zozolekivi

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Je suis un zèbre qui s’est perdu en chemin et qui s’est retrouvé dans la jungle urbaine.
En recherchant mon chemin, moi le zèbre, je découvre d’autres animales très curieux, et des idéales aussi très bizarres, et j’ai trouvé cet espace d’expression apparemment ouvert à tous, donc pour moi aussi le zèbre.

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  • zozolekivi zozolekivi 5 octobre 2010 22:33

    Bien sûr dans ma réponse précédente, il ne s’agit d’accuser sans aucune considération.
    Parce que pour être une banque compétitive, il faut « tout le temps avoir les moyens » en quelque sorte alors il fallait des objets de négociations, si virtuels soient-ils.
    Mais quand on regarde les volumes d’échange, et les fluctuations possibles, on se doute que les banques aiment quand ça bouge.

    Bref, c’est du boulot pour se créer des moyens sans rien de tangible derrière.

    Mais, à notre époque d’abus facile, de rumeurs manipulatrices, profiteurs à tout-va, on se doute qu’il n’y a tout de même des milliers de moyens pour voler son voisin, et que pour cela il faut l’appui de moyen politique et autres méthodes peu scrupuleuses (encore !).

    «  »Tous les moyens sont bons" comme qui dirait...



  • zozolekivi zozolekivi 5 octobre 2010 22:15

    Le problème n’est pas tant dans la fabrication d’une valeur virtuelle pour pouvoir augmenter les enjeux.
    Puisque dans l’absolu cela permet à une situation très basse d’être dans une situation moins basse.

    Mais cela suppose que vous devez engranger de quelque part ce que vous engrangez.
    Et ainsi pour pouvoir engranger, il faut quelque chose à engranger.
    Par voie de conséquence, vous allez solliciter et encourager l’abandon de moyens existants à ce type d’activité puisque soi-disant vous les placer sur un marché de « professionnels sans scrupules », etc.

    Et le fait de pouvoir multiplier les moyens réels, plus dur sera la perte (en ce sens que le va-et-vient permanent permet d’engranger donc ce qui a été écrit plus haut) même si on ne le perçoit pas tout de suite à travers la valeur de l’action, etc.

    Pour conclure mes dires, je finirai par dire que le fait que les banques rémunèrent bien leurs salariés pour engranger pour eux (faut bien travailler, sinon ce serait le comble), le fait est que vous, en tant que particulier ayant cotisé de votre travail, et les institutions chargés de gérer, les entreprises qui mettent leur valeur à négocier, on finit tous par perdre notre retraite, notre langue et notre latin. 



  • zozolekivi zozolekivi 4 août 2010 22:28

    Je trouve qu’on est obligé d’aller chercher loin des termes pour métaphoriser les choses.
    Pour, au final, vraiment s’éloigner des vrais éléments de ce que vous appelez humoristiquement cripsytepo.

    C’est bien cela : un cri psychologique et typologique d’une société en pleine mutation et en recherche de repères ; des repères qu’elle a du mal à repérer du fait de cette schizophrénie frénétique de vouloir toujous pouvoir y arriver, même si elle n’a rien compris.

     Qu’a-t-elle rien compris, à mon avis transgénique ? Qu’elle s’est transgénisée dans la parole procrastique : « Qui parlera le plus aura peut-être le dernier mot. »



  • zozolekivi zozolekivi 4 août 2010 22:14

    slipenfer vous êtes trop optimiste...

    pas besoin de manipulation quand 3/4 de la population ne comprend rien ni ne s’intéresse vraiment.

    la psypocrisie passe quand ça les touche un peu, ensuite il faut les martyriser tous les jours pour que cela devienne acquis, donc presque inné.

    en attendant l’inné et l’acquis, il faut leur rappeler que c’est pas bien pipocrite et lipocrite.



  • zozolekivi zozolekivi 26 juillet 2010 14:03

    Je suis complètement d’accord quelques réactions à votre article : à savoir ne lire qu’en diagonale ce que vous partagez de votre gai désespoir ci-dessus smiley

    Parce que c’est bien d’évoquer un sentiment, une interrogation et un désespoir qu’on provoque cette partie dubitative et hésitante en chaque être que parfois la spiritualité parvient à calmer et même à apaiser : la pensée nihilistique opposée à la pensée philosophico-religieuse, sans entrer dans aucun dogme ni doctrine ni encore invention fantastico-onirique d’influence mystique.

    Là je partage ce qui semble être de la foi et la pensée presque religieuse. De la foi en une profonde quiétude qu’il est possible de trouver non pas en d’incessants questionnements, mais en des réponses radicales. Si vous devez vaciller dans votre foi ou raisonnement, en faire part ainsi en mélangeant savoir, religion, connaissance et philosophie purement verbale et orale, sans aucun appui physique, cosmologique et archéologique, effectivement vous perpétrez un cycle sans fin.

    Ce cycle est plus nocif que le cycle de la vie même. Qui lui est inerte et inaltérable, mais que des pensées hésitantes rendent pénibles.

    Vous remarquerez que finalement la véritable interrogation est de savoir et comprendre pourquoi une personne de votre qualité a besoin de se rapprocher et peut-être à se raccrocher à une idéologie quelle qu’elle soit.

    J’ai parlé de spiritualité plus haut, mais ça aurait aussi pu être des mathématiques ou de la psychologie pour palier à cette recherche de soi et répondre à ce désir de grâce intérieure.

    Parce que quelque part, plus que vous ne rassurez les esprits simples, vous les confondez, il suffit juste de lire le titre smiley

    Pour finir, il s’agit pas là d’une plainte de l’expression de vos opinions et philosophie, mais pour traiter d’un thème aussi difficile que Dieu, uniquement des mots ne suffisent pas.
    Si votre livre comporte autre chose, alors tant mieux.

    Cette réaction ne constituera alors qu’une remarque sur votre article très peu attrayant pour ma gouverne.


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