En 1999, Dominique Strauss-Kahn fait l’objet d’une campagne médiatique visant à mettre en cause son rôle en tant que consultant, à une époque où il n’exerçait aucun mandat exécutif ni parlementaire national, dans des affaires judiciaires liées à l’exercice de la profession d’avocat (affaire de la Générale des Eaux, affaire de la MNEF, affaire de la cassette Méry et affaire Elf) entre 1993 et 1995.
Pour pouvoir se défendre et ne pas porter atteinte au gouvernement Jospin, il choisit de démissionner de son poste ministériel le 2 novembre 1999. Au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, il est remplacé par Christian Sautter.
Après deux ans d’instruction, la justice prononce un non-lieu à l’égard de Dominique Strauss-Kahn en novembre 2001. Il se représente lors d’une élection législative partielle, et est réélu dans sa circonscription du Val-d’Oise.
Eeeeeh oui, mon brave bulgroz ; la différence est là ; mis en cause (injustement, puisque la justice prononcera un non-lieu) dans des affaires AVANT sa nomination au Ministère des finances, DSK, lui............... a démissionné, pour laisser la justice faire son boulot sereinement.. (c’était d’ailleurs, en engagement de Jospin, pour tous les membres de son gouvernement étant mis en cause dans des affaires ; une sorte de « charte »éthique", d’avant la droite décomplexée )
Ça nous change de l’arapède Woerth qui, lui, mis en cause pour des affaires PENDANT qu’il est ministre............. continue s’accrocher à son poste.
Toute la différence entre une démocratie normale, et une République bananière...