@ Damien Perrotin
En 1990 , on ne voyait quasiment aucun voile islamique sauf chez les grand-mères d’origine maghrébine, les scandaleux « menus musulmans » dans les cantines scolaires n’existaient pratiquement pas, et les enfants de musulmans mangeaient du porc à la cantine , il n’ y avait qu’une dizaine de mosquées dans toute la France, en tant que médecin, on n’avait aucune demande de dispense de sport pour le ramadan ( dispenses que j’ai toujours refusé de rédiger ) D’aileurs, à cette époque, presque aucun musulman ne faisait le ramadan . En 1990 on ne voyait ni niqab, ni burqa ni abaya. Maintenant on en voit chaque fois qu’on fait ses courses au supermarché le samedi après midi.
En 1990 Patrick Topaloff pouvait chanter sans problème « Ali be good », n’importe quel journal satirique pouvait se payer la tête de n’importe quelle religion sans risquer un procès.
En 1990 , il n’y avait pas encore eu les attentats musulmans du 11 septembre 2001, ni ceux de Londres et de Madrid.
En 1990 on n’assassinait pas les cinéastes ni les politiciens parce qu’ils déplaisaient à la religion musulmane.
En 1990 il n’y avait pas de tribunaux de la chariah en Grande Bretagne, et ce pays était encre un pays de liberté d’expression .
En 1990 presque toutes les femmes avaient les seins nus à la plage, et le maillot de bain paraissait être un accessoire en voie de disparition définitive. ( Maintenant une femme de moins de 40 ans aux seins nus sur la plage risquerait de se faire traiter de salope par des membres de la « religion RATP » )
En 1990 60 % des filles « issues de l’immigration » épousaient des français dits « de souche » . Aujourd’hui, cela n’excède guère 30 % .
En 1990, les jeunes islamofascistes ne mettaient pas le feu au banlieues, et l’on pouvait, en tant que médecin, y faire des visites à domicile de nuit sans crainte.
Si vous ne voyez pas de différence entre 1990 et nos jours, c’est que vous êtes aveugle. Jupiter aveugle ceux qu’il veut perdre ...
