Je vous permets bien entendu de critiquer mes sources, mais encore faudrait-il les avoir lues : En effet la majorité de ces sources sont livresques (et non journalistiques) et certaines sont d’origines étrangères (anglo-saxonnes en majorité).
Pour moi Internet est le médium où l’on trouve de tout, du pire au meilleur, encore faut-il arriver à distinguer l’un de l’autre ce qui implique des recherches souvent longues et difficiles. Et je doit constater que la plupart des arguments qui en sont tirés convergent dans le sens d’une recherche superficielle.
Qui croire ?
Personne « à-priori », mais il faut faire nombre de recoupements (le recoupement est à la base de tout renseignement).
Un exemple : dès 1939 la France ouvrait des « camps d’internement » pour les « indésirables » ou simplement les réfugiés provenant soit d’Espagne, soit des pays totalitaires : Juifs, allemands anti-nazis, italiens anti-fascistes, artistes « dégénérés ». Les critères d’internement ont été publiés au Journal Officiel de l’époque et nombre de sites de généalogie les citent, ainsi que l’identité des personnes internées. Edifiant !
Et ce n’est pas le gouvernement Sarkozy qui avait établi ces critères mais des gouvernements soi-disant « de gauche » : Daladier, Reynaud, ...
Et cela démontre la perpétuation de la stigmatisation des « résidents étrangers ».
En remontant plus loin, il est intéressant de lire les discours de M. Thiers lors de ses appels à la répression sans pitié de la Commune de Paris en 1871 (entre 20 000 et 30 000 morts), et on retombe sur les mêmes discours.