L’Hortegrapheu ou la vie ?
Comme promis chose due ! Qui seront les posteurs déchus du français ?
Peu
de participants pour cette première édition - Devrons-nous faire un
sondage pour ancrer le message sur la nécessité de distinguer un bon
d’un mauvais français ?
Suite à la pétition en cours sur Médiapart « Le monde doit-il voler au secours de la France ? » http://bit.ly/aODekX S’agirait-il encore de bien Horteugraphier son nom pour avoir sa carte d’identité pour un français au corps traditionnel ?
Cessons
ces enfantillages, voici venu le temps de la correction ou plus précisément des expulsions, nous ne déclarons pas la guerre au vieu
françois en partant en vacances au cap Nègre sans son passeport de bon
Français !
En avant les expulsions -
Il y en avait 20 à trouver dans ce maquis ! Mettons les en gras avant de
les catapulter hors des frontières du champs français !
Simples déductions !
"Etoiles de justice, abimes de science, miroirs de vérité, qui avait la pesanteur du plomb, la durté de fer, l’éclat du diamant, et beaucoup d’affinité avec l’or, puisqu’il m’est permi de parler devant cette auguste assemblée, je vous jure par Orosmade que je n’ai jamais vue la chienne respectable de la reine, ni le cheval sacré du roi des rois. Voici ce qui m’est arrivé. Je me promenai vers le petit bois où j’ai rencontré depuis le vénérable heunuque et le très illustre grand veneur.J’ai vu sur le sable les traces d’un animal, et j’ai jugé aisément que s’étaient celles d’un petit chien. Des sillons légers et longs, imprimés sur de petites éminences de sable entre les traces des pâtes, m’ont fait connaître que c’était une chienne dont les mammelles étaient pendantes, et qu’ainsi elle avait fait des petits, il y a peu de jour. D’autres traces en un sens différent, qui paraissaient toujour avoir raser la surface du sable à coté des pattes de devant, m’ont apprit
qu’elle avait les oreilles très longues ; et, comme j’ai remarqué que le
sable était toujours moins creusé par une patte que par les trois
autres, j’ai compris que la chienne de notre auguste reine était un peu
boiteuse, si je l’ose dire..."
Tous les juges admirèrent le profond et subtil dicernement de Zadig ; et quoique plusieurs mages opinâssent qu’on devait le bruler comme sorcier, le roi ordonna qu’on lui rendit l’amande de quatre cent onces d’or à laquelle il avait été condamnée.
Zadig by Voltaire