Parlant de l’avortement, il y a un autre fléau qui frappe l’Algérie comme tous les pays musulmans, c’est la consanguinité.
38% des mariages en Algérie sont consanguins.
Etude du Forem (organisme de Santé Algérien) : "Le taux de consanguinité varie d’une
wilaya (département) à une autre. Le taux le plus élevé a été
enregistré dans la wilaya de Tébessa (est), avec 88%, tandis que le
plus bas a été recensé à Oran (ouest), avec
18,50%.
Dans les familles issues
de mariages consanguins, l’hydrocéphalie est 13 fois plus élevée,
l’hémophilie 11 fois plus fréquente, la maladie de Duchenne 8 fois,
les maladies neurologiques 7 fois et les anémies congénitales trois
fois. Si le taux de consanguinité en Algérie est plus
élevé qu’à celui du Maroc, pays voisin, qui est de 19,87%, il est
cependant moins important par rapport à plusieurs pays arabes, dont
Bahrein (39,40%), l’Arabie saoudite (50%), le Koweït (54%) et la
Jordanie (55%). "
Là aussi le coran prouve qu’il est un frein au développement humain, car c’est lui qui pousse au mariage consanguin : Sourate
33 Verset 50 : "Nous
déclarons licites pour toi tes épouses que tu as dotées et les
captives que Dieu t’a accordées au titre de butin de guerre, comme
nous te permettons d’épouser LES FILLES DE TES ONCLES PATERNELS,
LES FILLES DE TES TANTES PATERNELLES, LES FILLES DE TES ONCLES
MATERNELS, LES FILLES DE TES TANTES MATERNELLES qui ont émigré avec
toi, ainsi que toute croyante qui aura offert sa main au Prophète,
pourvu que tu donnes ton consentement. "
Notons également que les mariages consanguins par les musulmans en Europe sont encore plus fréquents (mariage avec la cousine du bled). Il est plus que temps de s’attaquer à ce problème de religion en France.