Birdy. Quand un auteur met des guillemets au terme réfugié (la solution du problème des “réfugiés”) dès les prémices de son texte, je n’éternise pas ma lecture. Je ne perds pas de temps à lire les élucubrations négationnistes de certains abrutis, pseudo universitaires ou moitiés de journalistes, faux historiens fanatiques, révisionnistes, qui aujourd’hui encore continuent de claironner à tout va que d’expusions il n’y eut point, alors que les plans de conquête et les logiques expulsions s’ensuivant sont encore aujourd’hui accessibles à toutes et à tous.
Que ces derniers (je parle des négationnistes de la Naqba), pompiers pyromanes, continuent de jouer sur l’éternel antisémitisme du monde qui nous entoure et qui de toute facon veut nous exterminer depuis 4000 ans mais que s’ils y sont pas arrivés, c’est que... beh on sait pas trop en fait, mais la volonté (et son corollaire, le triomphe, si vous voyez ce que je veux dire. Oui, dans ce genre de discussion, le Godwin se remporte facilement) est là, la preuve, on n’est que 15 millions dans le monde, tout ceci est surtout fatiguant et serait en mesure de provoquer l’effet inverse de celui escompté.
J’ai entendu parler d’un joli conte musical de Prokofiev. Je vous le conseille chaudement.