PS quant à votre réflexion sur la possibilité que vous m’appreniez le doute je vais vous décevoir car vous n’êtes en rien un professeur pour moi, et votre manière de retourner les arguments qui en fait vous desservent, puisque justement vous ne doutez en rien de ma culpabilité ce qui prouve que les gens comme vous se trouvent dans une contradiction intellectuelle permanente : n’avoir aucun doute de la culpabilité de ceux qui pourraient juger coupable d’autres personnes, ce qui vous fait vous auto-condamner en refusant la présomption d’innocence à ceux que vous accusez d’en manquer. En français cela s’appelle un oxymore.
Cet argument que vous utilisez pour tenter de renverser un argument qui détruit votre raisonnement, car c’est le vôtre qui dit que l’orthographe serait une preuve de sérieux et de justesse du raisonnement, de la qualité des informations, raisonnement d’un stupidité rare, argument que vous niez juste dans la forme pour tenter d’avoir raison. Les esprits comme les vôtres sont bien connus et ceci fait que ce sera ma dernière réponse. Vous ne m’intéressez pas en fait, ce qui m’intéresse c’est la perversité de votre raisonnement, ce qui m’a toujours fasciné. Oui je suis fasciné de toutes ces personnes qui se complaisent dans la mauvaise foi et qui semble-t-il jamais ne se remettent en question et continuent à utiliser la même forme de pensée, la même façon d’user d’arguments fallacieux, de tordre la vérité sans jamais en avoir honte et peut-être en y trouvant une certaine jouissance d’une amoralité absolue.
Si vous aviez lu mes articles vous auriez vu qu’il y avait des doutes comme par exemple je n’ai que très peu parlé de cette légion d’honneur à Maistre, seulement que lorsque sa remise pouvait le mensonge de Woerth, et que j’en ai fait un article où je pensais autre chose que ce que la justice cherche à savoir : si cette légion est une récompense de l’engagement de l’épouse de Woerth ou si l’engagement de l’épouse de Woerth est un remerciement de cette légion.