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Commentaire de Katinka

sur Le racisme ordinaire contre les Arabes : État des lieux d'une intolérance assumée en Europe


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Katinka 1er septembre 2010 14:06

Chitour

Je ne me poserais pas la question de savoir qui a inventé le fil à couper le beurre.et je me fiche de savoir si c’est la civilisation A, B ou C qui l’a inventé.
Les civilisations se sont transmises des connaissances sans Droit International pendant plusieurs siècles.

J’ai retenu quelques phrases d’un paragraphe.

1/ La recherche d’un bouc émissaire en fonction de son appartenance religieuse ou ethnique est vieille comme la civilisation et elle n’est que le produit des frustrations de ceux qui cherchent des réponses rapides et simples, en tout cas à faible risque, face au véritable mal qui les ronge : le racisme.

La recherche du bouc émissaire fait fureur en France en ce moment et la réponse à nos questions est ailleurs mais il suffit à quelques uns plus ou moins intelligents ( ce ne sont pas des lumières ) d’activer le feu auprès d’un ignorant à qui on ferait croire n’importe quoi.

C’est classique en France, l’autochtone pense avoir tout inventé alors qu’il n’est jamais sorti de son trou.
Rien qu’à voir ses méconnaissances dans les langues étrangères.

L’occident et surtout les gogos en France vont s’apercevoir qu’ils ne sont pas les maîtres du Monde. Je plains les diseurs de mauvaise fortune .
La honte pour eux !

Elles ne comprennent pas que l’infortune et les hasards de l’histoire peuvent les amener à la même condition qu les Arabes actuels eux qui furent les héritiers paresseux d’une civilisation qui éclairait le monde.

Vous parlez de civilisations ( çà fait antiquités ) mais je parlerai plutôt de styles de vies que nous comptons mener dans le millénaire.

Une Terre où 20% de la population mondiale se croyant propriétaire de la planète est révolue. L’unipolaire est entrain de mourir.

Le multipolaire est en marche et je laisse les ringards à leurs vielles lunes en espérant qu’ils nous feront pas trop de dégâts.
Je leur laisse une note d’espoir pour leur propre avenir :
« Heureusement qu’on meurt »


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