Bonjour @Furax,
Personnellement, j’ai apprécié la lecture de votre article et le style d’écriture en particulier. Il est tout à fait adéquat pour Agora Vox et aurait mérité sa publication. Si je dois apporter un bémol, c’est simplement le rattachement à l’actualité qui vient trop tard dans l’article.
Un article peut parfois ne pas être publié pour la simple raison que Agora Vox est un média citoyen, c’est à dire qu’une écriture dont l’opignon est très axée est un« article d’opignon » et non un article privilégiant les faits...
C’est le jeu d’Agora Vox, le média des citoyens, ils sont de nature diverses et d’opignons variables, même en France (mais moins qu’ailleurs), par exemple, il m’est arrivé une fois, après avoir publié un article d’en venir à douter de mon propre pays d’origine à cause des commentaires extrèmement xénophobe, ce sont des risques quand on écrit...
http://t.co/IaUtlzJ
Concernant le contenu de votre article, j’ajoute que la liste de 3000 noms exibée par Woerth n’a pas eu de lecture, pourquoi ?
Je suis journaliste français exilé en Suisse, pays que les français considèrent un « paradis fiscal ». Imaginez ce que les helvètes peuvent me confier au sujet de la fiscalité, au sujet du rapport à l’argent et au travail, et surtout de la démocratie...
Certes la France est un pays compliqué, jadis sa grandeur faisait d’elle un exemple pour les autres nations, mais, aujourd’hui, le manque de transparence du public et du privé, le désengagement citoyen, la dégénérescence des élites, l’absence de morale de beaucoup et l’isolement des anciens a permi à une oligarchie non représentative de vivre au dépend des autres ; L’âme de la France est un danger aux yeux de ces « sarkoziens », mais je m’efforce à croire qu’elle perdure malgré tout !
Une dernière chose, pour 2008, j’ai payé plus de 14% d’impôts. En 2009, je décide de reprendre une année d’étude, je n’avais cependant pas les droits d’un français (bourses, caf, rsa, assedics...), je me suis contenté de mes devoirs : payer et fuir à l’étranger !
Cordialement chers lecteurs,
Anthony Romagné