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Commentaire de King Al Batar

sur Béhachel, Sakineh et les femmes assassinées


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King Al Batar King Al Batar 8 septembre 2010 12:42

Bonjour et merci pour cet article.

Effectivement je pense un peu comme vous. On a tendance, et légitimement, à se sentir heurté par le triste sort que risque de connaitre Mme Sakineh. Le porblème, en tout cas ce qui me gène c’est le sentiment d’instrumentalisation du combat qui est mener, et donc de la possible mort de cette femme.

On ne se soucie guere des femmes lapidés dans les pays Africains, pour la bonne et simple raison que les presidents Africains de pays musulmans n’ont pas pour ambition de posseder l’energie (et par crainte l’arme) nucléaire. Donc dans ses pays là, lorsque les femmes sont lapidés tout le monde s’en fout. J’ai envie de dire, comme d’habitude d’ailleurs, à chaque fois qu’un noir meurt les medias s’en foutent un peu. Il faut au moins un million, ou un bon ouragan, qui laisse entrevoir l’espoir d’un gain potentiel sur la reconstruction pour que l’on en ai quelquechose à foutre.

J’ai appris depuis plusieurs annés à comprendre que les combat soit dsant humaniste de BHL ou de Kouchner, mais aussi ceux de José Bové ou de Dieudonné, sont la plupart du temps de manipulation de la sensibilité des personnes, visant en fait à légitimer un discours de haine envers les communautés désignées comme les agresseurs. Quelle que soit les communautés, celui qui s’élève contre les malheurs d’un peuples mais ce foit de ceux d’un autres, et toujours suspect dans sa sensibilité.

relire les fondements de la métaphisyque des moeurs permet de bien comprendre que derriere chaque acte, aussi louable soit il, il y a un mobile (pas un gsm). Il n’est pas difficile d’identifier ceux des BHL et autre gueuleur contre l’horreur.

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