Le Giec est contre la pollution, or la pollution, c’est mal. Donc le Giec, c’est bien.
Les climato-sceptiques sont contre le Giec, or, puisque le Giec est contre le mal, les climato-sceptiques sont pour le mal..
Mouais.
1°/ D’abord, le CO² n’est pas vraiment un polluant, puisque les plantes s’en nourrissent.
2°/ Avant la question de bien / mal, il faut résoudre celle du vrai / faux. C’est-à-dire que le modèle de l’effet de serre est déjà dans son principe pas sûr (voir cette étude, d’un ancien collaborateur de Pierre-Gilles de Gène). Les découvertes de Vincent Courtillot, de l’Institut physique du Globe, accréditent plutôt le rôle moteur au soleil. L’académie des sciences en a débattu récemment. Le plus grand climatologue Français était largement dubitatif. C’est précisément là où le Giec pratique l’imposture. Plutôt porteur de religion que de science, ses réseaux (politiques) se placent du point de vue du bien plutôt que du vrai. C’est la raison pour laquelle les « climato-sceptiques » sont diabolisés, leurs publications sont écartées, leurs carrières menacées.
3°/En ce qui concerne un changement de paradigme économique, politiquement, de mon point de vue, c’est d’abord à la paupérisation de la population qu’il faut répondre. Or, les mesures promues par le Giec, consistent à prôner le rationnement de l’utilisation de l’énergie pour tous, sauf pour les riches, grâce au mécanisme des droits d’émission de CO², un nouveau marché spéculatif. Or le rationnement de l’énergie pour les pauvres n’est pas une réponse au problème de la pauvres, mais plutôt un moyen d’augmenter le contrôle de ceux qui contrôlent déjà tout.
Bref, vous jetez par-dessus bord la vérité scientifique, au nom de nobles sentiments, mais pour soutenir des mesures dont l’effet sera d’asservir encore d’avantage les populations aux 1% de ceux qui ont déjà tous les droits.
Il s’agit donc pour vous de tirer parti d’argument de mauvaise foi, pour des visées idéologiques et politiques. Mais vous serez « cocu », parce que ce n’est pas vous-même qui pourrez décider des mesures politiques à prendre. Elles correspondront à d’autres désirs que les vôtres. Au vu de la situation du monde actuellement, il est flagrant que ceux qui décident n’ont pas montré d’amour du peuple, mais tant un cynisme impitoyable que des velléités de contrôle et d’asservissement inouïes.
Comme promouvoir l’horreur en croyant bien agir... Voilà, si vous n’y prenez garde, la tragédie qui vous guette.