Je suis profondément étonné qu’un « Ingénieur Conseil en énergie ainsi qu’en résilience et stratégie post-carbone des territoires », selon la carte de visite de l’auteur sur AV, n’ait pas mieux poursuivi ses recherches. L’information qu’il offre est parcellaire et dépassée en ce qu’elle ne présente pas les recherches les plus récentes, ou déjà anciennes mais reprises récemment, sur des variantes de l’énergie qui ne sont ni basées sur le carbone, ni sur le nucléaire ancestral et dévastateur que nous connaissons (dont ITER fait partie), ni sur des techniques de captage peu fiables, non permanentes ou aléatoires comme l’éolien et le solaire.
Une bonne recherche sur Internet l’aurait pourtant bien remis à la page. Allez-voir ici quelques espoirs parmi les plus sérieux :
- BlackLight (énergie de l’hydrinos, instance de l’hydrogène à l’électron suractivé, tirée de l’eau) a déjà plusieurs contrat d’exploitation,
- l’Hydroxy (HHO) ou gaz de Brown, extrait de l’eau, dont les recherches et mises en application sont de plus en plus prometteuses, permet par injection dans le flux de carburants carbonés classiques d’améliorer la combustion de 20 à 40%, voire mieux. Ex. : http://www.waterfuelforall.com/, http://www.oxy-hydrogen.com/, http://browngas.com/eng_bestkorea/product_3.htm.
- la maîtrise de phénomènes électromagnétiques liés aux aimants permanents puissants. Voir l’entreprise Terawatt (liens lents, patienter) qui présente des résultats certifiés (présentés avec Flash Player) d’énergie sortante plus élevée que l’énergie entrante, par captage d’une énergie électromagnétique encore mal connue (perturbation de la symétrie auto-compensante des aimants).
et même la
Fusion Froide dont les recherches dans plusieurs Universités ne sauraient un jour nous décevoir.