L’Islam peut sembler une résolution du problème de l’absence de spirituelle contemporain, mais uniquement aux matérialistes sans spiritualité.
En effet, au lieu de voir en l’Amour le principe spirituel de la relation avec le Dieu, comme pour les chrétiens, l’Islam se fonde autour de la violence pure et la soumission.
Le texte coranique est un ensemble de prescriptions (obligations), enchaînées sans aucune cohérence logique, ni raison. Allah s’y contredit sans cesse. Il n’y a donc aucune spiritualité à trouver dans le Coran, si ce n’est une destruction de la logique elle-même chez ses ouailles. D’ailleurs Allah lui-même le dit : les hommes ne peuvent pas interpréter sa parole.
Sa mise en confrontation d’avec la spiritualité chrétienne remet l’Islam à sa place : un texte sans queue ni tête, détruisant toute spiritualité chez sa jeunesse, la vouant à l’obsessionnelle recherche du plaisir.
L’Islam s’est privé de l’amour auquel il a substitué la soumission... Il faudra bien réfléchir à deux fois, en cherchant, pour une fois en toute bonne foi, à déterminer, selon notre conscience, et non par réflexe idéologique conditionné, les qualités respectives des mythes islamiques et chrétiens.
Pour un exemple de « miracle » du Coran voir sirius. Voilà un petit exemple de l’irrationalité intrinsèque au Coran, un fétichisme des chiffres... Ainsi est la raison pour laquelle les pays musulmans, pourtant au bord d’un des berceaux de l’humanité, la méditerranée ont stagné, végété, du fait que le mythe coranique n’est pas un mythe ni d’amour, ni de raison, mais de soumission à l’arbitraire.