La surveillance ne constate que le fait accomplit. Et il faut bien des yeux pour l’apercevoir.

L’Idée, qui germe en l’auteur du méfait, elle, est invisible par nature, et c’est bien elle qui engendre l’acte qui sera visible plus tard. Faut-il inventer une technologie externe pour lire dans les pensées ?

C’est une extrémité ridicule, une voie sans avenir. Croire que multiplier les regards extérieurs, ou les lois, puisse gérer l’intériorité des hommes, est la voie du totalitarisme : puisqu’inefficace, à multiplier sans cesse.

L’autre voie, c’est l’homme civilisé. L’homme civilisé intériorise un regard sur lui-même, sa morale, de manière à être en rapport non conflictuel avec autrui.

Cette structure morale des personnalités civilisées est directement issue des religions.

Or, qu’indique la religion de l’Islam ? Qu’il est légitime d’anéantir, de tuer, d’humilier tout ceux qui ne sont pas musulmans jusqu’à ce qu’il ne reste que des musulmans.

Voilà bien le genre d’idée, par une partie de la population intériorisée, qui serait propre à provoquer des crimes qui semblent dénués de sens pour toute personne de culture judéo-chrétienne.

L’augmentation de l’insécurité pourrait n’être rien d’autre que le fruit donné par les graines de haine semée en la jeunesse musulmane par le Coran. Autrement dit, elle serait une application du Djihad, le sentier d’Allah, au abord des écoles, qui sont les pouponnières de la République. Ou encore, une forme de terrorisme Islamique qui ne dit pas son nom.

Ainsi, la laïcité, voulant organiser sur un pied d’égalité toutes les religions, afin de minimiser les tensions religieuses, a organisé un culte, l’Islam, dont le but est de combattre toutes les religions, et ceci par tous les moyens.

Ainsi, l’application de la Laïcité à l’Islam, selon la bonne intention de minimiser les tensions religieuses, les a fait augmenter dans les faits.

Les faits montrent donc que l’Islam n’est pas compatible avec la laïcité.