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Commentaire de armand

sur Délinquance : le facteur culturel mis en évidence par un sociologue


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armand armand 18 septembre 2010 10:29

Je ne comprends pasl’acharnement de certains de gôoooche qui refusent l’évidence, même si celle-ci est présentée sous la forme la plus neutre qui soit.
Oui, les familles polygames, où les mères sont des anaphabètes claustrées à domicile, les gosses livrés à eux-mêmes et en bande, secrètent tout au moins de l’incivilité et bien souvent de la criminalité.
Le beauf alcoolique du quart-mode de nos provinces qui enceintre x nombre de concubines créé lui aussi une atmosphère criminogène.
Ajoutons à cela la concentration de ces populations dans certains quartiers où elles trustent les logements sociaux et l’on obtient ce résultat.

De plus, le facteur culturel est aggravé par l’importation d’une sous-culture des ghettos U.S. valorisant la violence, le bling-bling, le mépris des femmes, ainsi que de vagues justifications fondées sur les comptes à solder de l’époque coloniale et on obtient la situation présente.

A mon sens il n’y a même pas de débat sur ce constat.
C’est à propos des solutions que les tendances politiques et philosophiques de chacun divergent.
Personnellement (j’habite depuis VINGT ANS un de ces quartiers, et j’ai pu assister à la transformation de l’environnement humain par injections massives de ces familles sud-sahariennes) j’aurais tendance à privilgéier l’éducation, mais cela implique rétablir une discipline de fer dans nos établissement, et des travauilleurs sociaux habilités à intervenir au sein même des familles.
Plus généralement, je mettrais déjà fin à cette anomalie qui consiste à récompenser les familles nombreuses en limitant les allocs à trois enfants au maximum (ou en les supprimant entièrement, austérité budgétaire oblige).
Et pou finir (mais c’est là un autre débat) je casserai la spirale des prix de l’immobilier afin que les grandes villes, Paris surtout, cessent d’être polarisées entre pauvres immigrés dans les HLM, riches bobos ou jeunes cadres subventionnés par leurs familles dans le logement libre, et les classes moyennes.... rejetées en périphérie.


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