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Commentaire de morice

sur Et la mascarade continue.... encore quatre d'échappés ! (2)


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morice morice 18 septembre 2010 19:30

Par Falderma (xxx.xxx.xxx.76) 17 septembre 19:12

créé aujourd’hui quoi.... comme d’hab..

« gaulliste » ah ah ah 
http://www.lemil.org/documents/va/2009/va2009_238.pdf
c’est le SAC repeint :

rougeot est à l’UNI
http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_nationale_inter-universitaire

c’est bien de l’extrême droite GUDISTE....
http://nopasaran.samizdat.net/article.php3?id_article=490

L’UNI a été créé à l’initiative du SAC après les événements de mai 1968 pour « regrouper tous ceux qui entendent soustraire l’Éducation Nationale à l’emprise communiste et gauchiste, et défendre la liberté en luttant contre toute les formes de subversion ». Depuis cette 2poque l’UNI est toujours demeurée étroitement associé au SAC. La parenté idéologique et l’interpénétration des deux organisations conduisirent au fil des années l’UNI et le SAC a de nombreux actions communes. Le SAC n’a de cesse d’apporter en effet à l’UNI un soutien actif aux opérations dont elle avait décidé le lancement. La double appartenance de membres de l’UNI au SAC facilitant un tel état de chose.

’IDÉOLOGIE DU MIL

Là aussi on retrouve beaucoup d’analogie avec le défunt SAC : le MIL se veut aussi à part, il n’est pas un parti politique, partis dont il se méfie ceux-ci étant « tributaires d’intérêts particuliers, d’échéances électorales...tentés par des compromissions ou des louvoiements de circonstance ». Il « entend faire sentir son poids dans la vie nationale en s’efforçant d’infléchir dans le sens des principes qu’il défend les décisions pris aux divers échelons ». C’est ainsi que « s’il ne lui appartient évidemment pas de formuler un code morale à usage individuel et privé... il lui incombe de lui dire clairement à quelles valeurs civiques il se réfère ». Tout d’abord dans la primauté de la personne « entre le principe personnel et le principe collectiviste il existe une incompatibilité de nature. Il faut donc choisir. Tout système qui se présente comme le mélange des deux, par exemple sur le modèle social-démocrate aboutit finalement à imposer en douceur la primauté du collectif ». Autres valeurs défendre par le MIL « La libre entreprise et l’initiative personelle », la famille « elle est globalement une nécessité absolue » et la Nation. Mais attention « la société française est menacée par des dangers variés, parfois subtiles qui visent à détruire les valeurs civiques sur lesquelles elle repose ». Le premier de ces dangers est la perte d’identité. Pour le MIl « il ne fait pas de doute que l’immigration sous sa forme actuelle constitue une menace mortelle pour l’identité nationale parcequ’elle présente des caractéristiques nouvelles et dangereuses. Les immigrés sont beaucoup trop nombreux : au point de vue numérique le seuil de tolérance est déjà nettement dépassé ». « elle créé toutes les conditions d’affrontements violents qui ne marqueraient pas de transformer des réactions des réactions de défenses naturelles en réaction qui cette fois seraient effectivement racistes ». Face à ce danger le mIL préconise de « prendre des mesures sévères contre l’immigration clandestine mais aussi de limiter de façon beaucoup plus rigoureuse les conditions d’accueil ». Autre menace cette fois extérieure « l’Europe fédérale et supranationale » qui mettait en danger la souveraineté nationale. La France serait aussi l’objet d’une tentative de dissolution à l’échelle mondiale « cette tentative procède d’une conception d’ensemble selon laquelle pour assurer le bien de l’humanité et garntir la paix perpétuelle et la prospérité économique il faut que le Monde soit dirigé en fait de façon fort occulte, par une sorte de gouvernement des sages. Au service de cette conception mondialiste sont mis des moyens d’action d’une ampleur impressionante. Quelques organisations dont la plus connue est la Trilatérale... des entreprises multinationales » pour qui « une France forte , autonome et rayonnante est particulièrement génante, donc particulièrement visée ».


ROUGEOT mêlé à l’obtention de la thèse de.. Faurisson


http://www.angelfire.com/biz2/rlf69/CR/roques.html

Depuis 1978, Roques est en contact avec Faurisson (voir Affaire Faurisson). C’est lui qui lui a conseillé d’entreprendre sa «  thèse  » et proposé le sujet. Le 5 février 1982, Roques s’inscrit donc en thèse, à l’université de Paris IV sous la direction de Jacques Rougeot. Mais dès cette année 1982, il en discute déjà avec Jean-Claude Rivière, de Nantes. La rédaction est terminée en avril 1984. Dès ce moment, Roques propose pour le jury les noms de Jean-Claude Rivière, Jean-Paul Allard et Pierre Zind. Comment connaît-il les deux Lyonnais ? En janvier 1985, Jacques Rougeot se désiste et le jury final est composé. La «  thèse  » obtient la mention «  très bien  ». À la soutenance, assistent Robert Faurisson en personne, Pierre Guillaume, chef de La Vieille Taupe, et Gilles Roques, fils du «  doctorant  », chercheur au CNRS que l’on retrouve aux côtés de Goulven Pennaod et quelques autres, dans la revue de Jean-Paul Allard, Études Indo-Européennes, de Lyon III.


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