@ chria
Vous trompez : les variations naturelles ne vont pas forcément nous
amener du froid. Elles sont prises en compte par le Giec. Donc elles ne
sont pas l’apanage des solaristes. Je sais pas où vous êtes allé pêcher
cette idée inventée de toute pièce.
Cher monsieur,
Savez vous combien de spécialistes du soleil ont participé à la rédaction du dernier rapport du GIEC -AR4 2007 ?
Un (plutôt une) seul ! Et ce dernier a pour seul argument que l’irradiance solaire a trop peu varié pour expliquer le réchauffement actuel (0,7°C en cent ans).
Evidemment, les nombreux solaristes sont d’accord avec cet argument de cours d’école primaire... Et c’est cela que vos tenez pour un argument décisif ?.
De nombreux observateurs (sérieux) ont démontré que le soleil ne fait pas que nous envoyer des rayons lumineux ; très loin de là !
Je sais pas où vous êtes allé pêcher
cette idée inventée de toute pièce.
dites vous ?
Mais tout simplement , cher monsieur, en lisant les nombreux articles scientifiques peer-reviewés qui paraissent actuellement dans la littérature.
Il y a , en bref, 3 possibilités qui sont examinées en détail dans la littérature :
-L’effet des UV ( Voir par exemple Regis Lockwood de Reading) sur la haute atmosphère ces derniers sont très intenses lors des éruptions solaires.
-L’effet des flux électriques ( voit par exemple Gile Harrison aussi de Reading)
-L’effet dit de Svensmark du nom du physicien qui effectue des expériences en ce moment même avec une équipe internationale ( 16 institutions) au CERN de Genève. L’activité solaire peut aussi dévier les rayons ionisants responsables de la formation des nuages...
Bref, entre autres et au sujet des effets du soleil, le GIEC se moque du monde. Il « oublie » systématiquement tous les travaux (pourtant dument peer-reviewés et publiés) qui ne vont pas dans son sens. Il est visiblement motivé par une démarche entièrement politique.
Rien à voir avec la science qui progresse chaque jour, indépendamment de cet organisme malfaisant qui a surtout mis en place quelques chapelles bardées de certitudes mal placées.
Mais les choses importantes se passent ailleurs, comme je l’ai déjà dit.