@L’auteur :
Vous dites qu’il ne faut pas considérer le coté religieux, mais considérer ces bandes pour ce qu’elles sont : des bandes criminelles. Et en effet, on peut bien les qualifier ainsi. Mais, le qualificatif n’a pas trop d’importance, au regard de la vérité.

Pourquoi donc évacuer la religion de cette réflexion ? Avez-vous l’idée de la puissance des mythes religieux pour forger les personnalités ?

N’y a-t-il pas des dispositifs sectaires qui engendrent de la criminalité ?

Si l’on constate que plusieurs membres d’une secte pratique des crimes, n’est-il pas logique de s’intéresser aux principes professés dans cette secte ?

Ainsi, si l’on constate une criminalité particulière des pratiquants de l’Islam, l’analyse de celui-ci ne doit pas faire exception à ce que l’on ferait pour d’autres sectes.

Avez-eu une fois la curiosité de regarder la teneur du Coran ? Le soumis, n’est pas sauvé au départ, comme dans le christianisme. Pour l’être, le soumis doit faire les bonnes oeuvres pour Allah. Et la voie royale d’accès au paradis, celle qui est sure, comme le dit Allah lui-même (ils seront à sa droite), c’est de pratiquer le Djihad. Le Coran est de plus d’un ton vengeur, colérique, et contient des appels au meurtre (pourchassez-les, tuez les), des appels à la torture (coupez-leur la main et la jambe opposée). Il y a été dénombré plus de 400 appels à délits très graves (enfermez-le et battez-le, jusqu’à ce qu’il croit en Allah), au regard du code pénal, contre tous ceux qui ne sont pas musulmans...

L’Islam est donc un dispositif religieux qui ne sécurise pas les individus au départ (en les privant d’un Salut initial), et dont le livre « sacré » engage ses ouailles à agir pour l’être, par tous les moyens violents imaginables, pour étendre le nombre de soumis. L’Islam est en fait un apartheid géant, où tout est permis contre les non-musulmans jusqu’à ce qu’ils deviennent musulmans et aussi contre les impurs en général (y compris leurs femmes).

C’est cela qui génère la criminalité qui en émane.

Regardez donc le Coran et analysez-le.

Si je ce que je dis est faux, venez-donc ici rapporter la vérité.