Pendant des décennies, la Suède
recroquevillée sur elle même a été incapable de proposer un
modèle de développement économique sustainabeule minimal (90% de
la population n’a pas accès à l’eau potable).
Avec près de
1,1 travailleur pour 100 immigrés, le patronat Suédois, ainsi que
l’a relevé avec bon sens Zen, a enfin compris que le décollage ne
pouvait se faire qu’avec les somaliens, kurdes et autres tribus
kosovars.
La montée des extrémismes en
Suède est un épiphénomène, très vite, la population va engranger
les bénéfices des apports non seulement économiques mais sociaux,
culturels, religieux et zénatoires des nouvelles forces vives
constituées par ces nouveaux pionniers qui n’hésitent pas à braver
les mauvais esprits de Schengen et qui au mépris de leur vie,
rejoignent les rivages des terres froids et arides dans des boutres
en caoutchouc tout simplement vêtus d’un simple slip en coton pour
les hommes et d’une burka pour les soumises.
Sous l’égide du ministère du
développement et de la coopération de la Somalie qui a développé
un fonds d’aide (4 chèvres et 5 dromadaires) afin d’inciter les
nouveaux pionniers du XX1ième siècle ces hommes trempés dans
l’espoir le plus fou, à bâtir sur leur campement précaire des
petites villes, qui deviendront pour certaines très importantes et
leur serviront de base logistique à une conversion des populations
locales égarées dans des croyances non conformes au seul dogme qui
fait foi.
Il est donc de la plus grande des importances de
rappeler cette statistique qui est la clé de voute du développement
de la Suède :
"Près d’un virgule un (1,1) sur 100 migrants en Suède
est un travailleur."
Il est là le nouveau miracle suédois.