@ l’auteur,
« La légitimité d’Israel n’a rien a voir la-dedans et le nombre de croyants non-plus. Il n’est question que de réalités historiques et non de leur interprétation. »
Nous sommes tout a fait d’accord. C’est pourquoi je disais que ceux qui interprete votre article en disant que Larousse est sioniste et utilise leurs encyclopédie pour falsifier l’histoire afin de légitimer l’extitance d’Israel n’ont rien compris à la teneur de vos propos....
« Pourriez-vous m’expliquer comment dans un siècle, il sera possible de montrer que Jérusalem était une grande capitale d’un grand pays ? »
Ce n’est pas ce que je dis, je dis juste que l’histoire a montré qu’on peut faire des decouvertes scientifiques qui viennent totalement renversé les croyances établies. Donc que la Science n’est pas forcément la vérité, puisque ceux qui croyaient à la science il y a 200 ans par exemple croyaient en des principes qui sont parfois considéré comme faux aujourd’hui. C’est le principe de la science, être évolutive. En revanche la religion, elle ne l’est pas, c’est à dire que le croyant (quelque religion que ce soit) lui ne remettra pas en question ce pourquoi il croit, tout simplement parce qu’il considére sa croyance (à juste titre ou pas) comme une vérité établie. Je vous met simplement en garde en vous disant de ne pas vous fier uniquement en ce que la science dmontre pour établir vos vérité, car vou pouvez aussi vous retrouver dans l’erreur. En somme, la science n’est pas une science exacte. C’est bête mais c’est comme ca....
« Dans cette encyclopédie, il y a 8 pages sur Jésus et les Evangiles qui sont considérées également comme relatant des faits historiques. Je n’en ai pas parlé dans cet article car on ne peut parler dans ce cas de falsification de faits historiques. »
Pourquoi les evangiles et Jesus sont ils considérés comme des faits historiques selon vous, plus que l’histoire de Moise, avez vous des preuves de leur existance, a t on trouvé quoique ce soit qui légitime historiquement et scientifiquement chaque lignes des 8 pages dont vous parlez. Permettez moi d’en douter...